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vendredi 15 février 2013

The Hellions - Ken Annakin - 1961

Richard Todd, Anne Aubrey, Jamie Uys, Lionel Jeffries, Marty Wilde, Ronald Frazer

80 minutes


Au Transvaal, en Afrique du Sud au début du XXe siècle. 5 hommes sans foi ni loi sont lâchés dans la nature. Le père et ses quatre fils nommés d'après les apôtres (à part Jubal) sont violents et boivent plus que de raison. Après que l'un des fils ait tiré un coup de feu en l'air le cheval du père s'enfuit pour se retrouver pris dans les fils de fer barbelés d'une ferme où un fermier l'abat après avoir tenté de le sauver.
Les cinq hommes furieux tirent dans la jambe du paysan et lui dérobent un autre cheval avant de se diriger vers une petite communauté où ils ont appris que Sam Hargis maintenait la loi. Visiblement ils comptent bien se venger de lui et passer leurs frustrations sur ceux qui croiseront leur chemin ...


Un film avec quelques invraisemblances. Le cheval dérobé au début est sensé être le seul cheval de selle de la ferme or un des boys en monte un pour aller chercher de l'aide, la communauté est prévenue de l'arrivée de ces bandits et ne se prépare pas du tout, les pieds du cadavre dépassent de derrière le comptoir et personne ne pense à mieux le cacher, le réparateur de la ligne du télégraphe est d'une naïveté crasse et certaines réparties sont assez humoristiques.
Pourtant je ne suis pas sûre que ce soit un film comique vu la violence déployée ! Ce film ressemble assez à un western spaghetti, les gens se montrent crus, la violence et la lâcheté figurent en bonne place et les femmes se montrent plutôt nunuches. Souvent comparé à High Noon et applaudi, ce type de film ne me parle pas beaucoup même si au départ j'ai trouvé les extérieurs très beaux et apportant une touche d'exotisme non dénuée d'intérêt.
Le film est tourné en plein apartheid, les indigènes se comptent sur les doigts d'une main.
Jamie Uys se montre si mou et pleurnicheur tout le long de ce film que ça en devient pénible. Rien à voir avec son futur travail de réalisateur si l'on pense aux Dieux sont tombés sur la tête !
Ken Annakin débute le tournage puis, après qu'il soit tombé malade, passe la main à Harold Huth et Clive Reed.
La chanson du générique est interprétée par Marty Wilde qui joue l'un des fils par la même occasion. 
Pour les amateurs de westerns spaghetti ou exotiques.





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