Let's Remember:

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Tim McCoy 1891-1978 / Nora Lane 1905-1948 ‘The Western Code’ de John P. McCarthy 1932

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lundi 1 février 2021

The Texas Rangers - Phil Karlson - 1951

Après la guerre civile, en 1874. Les hors la loi de tous horizons débarquent au Texas et agissent en toute impunité. 
Le plus connu, Sam Bass pille les trains et descend quiconque se met en travers son chemin.
A Waco, Johnny Carver, son copain Buff et le Sundance Kid attaquent une banque mais le Sundance veut le magot pour lui tout seul et tire sur Buff avant de viser Johnny.
A la place il descend le propriétaire du journal local devant les yeux de sa fille Helen Fenton avant de prendre la fuite.
Johnny et Buff sont sur le point d'être lynché par la population mais finissent par être jugés et condamnés à 20 ans au pénitencier.
Pendant ce temps, le Majors John B. Jones met sur pied les fameux Texas Rangers pour contrer les bandits ce qui pousse Sam Bass à rallier ses copains afin de faire une troupe imparable. 
Ainsi est-il rejoint par le rustler Dave Rudabaugh, un tueur John Wesley et de nombreux autres bandits qui ont connu des jours meilleurs avant l'arrivée des rangers. 
Le Major décide alors de faire appel à Johnny et Buff pour les intégrer aux Rangers, sachant qu'ils connaissent les repères et chemins préférés des bandits.
Johnny et Buff ont servi sous ses ordres durant la guerre et Johnny a pris le chemin de l'illégalité après avoir retrouvé ses parents tués et son frère blessé. Au headquarter Johnny retrouve son frère, un jeune ranger fraichement enrôlé sous le nom de Danny Bonner. 
Malheureusement Helen Fenton est présente à l'arrivée de Johnny et Buff et se montre outrée que les deux hommes responsables de la mort de son père soient engagés au sein des troupes des rangers et écrit un article incendiaire dans le journal ce qui prévient la bande de Sam Bass qui veulent maintenant barrer la route à leurs anciens collègues. 
Sundance convainc Sam de le laisser abattre Johnny et part tendre une embuscade mais c'est Johnny qui l'abattra. 
Plus tard son frère Danny les rejoint mais Johnny n'est pas enthousiaste à sa vue. Maintenant qu'il a retrouvé la liberté il est prêt à tout abandonné, malgré le serment prêté aux Rangers. 
Mais Buff change la donne et se rallie à Danny. Plus loin les trois hommes sont attaqués par l'affreux Dave Rudabaugh et 4 hommes. 
Danny est mortellement touché et seul Dave se sort de l'affrontement avant d'aller rendre des comptes à Sam. Buff s'en va retrouver le Major pour lui faire son rapport et Johnny se rend à Belton où Sam a l'intention d'attaquer une banque où la Wells Fargo va déposer 50'000 dollars. Contre toute attente Johnny s'enfuit avec l'argent après avoir menotté le shérif à un poteau, brûlant ainsi la politesse à Sam et ses hommes ...
Il y a déjà quelques années, J'avais déjà beaucoup aimé ce film tourné en supercinecolor. Je suis heureuse de l'avoir revu car je n'ai pas été déçue.
George Montgomery y joue le rôle d'un ancien soldat qui a mal tourné à la fin de la guerre et qui, suite à la trahison de Sundance Kid, est incarcéré avec son comparse Buff. 
Son ancien supérieur, maintenant à la tête des rangers, lui propose d'intégrer ses troupes afin de repérer les agissements de la bande dirigée par Sam Bass qui comprend quelques tristes célébrités et qui est très organisée.
Non seulement la trajectoire du héros est loin d'être linéaire mais plusieurs scènes sont particulièrement intéressantes : l'interaction avec un frère (Courtland) qui l'admire et qui est d'une honnêteté à toute épreuve, son amitié avec Buff Smith campé par un Noah Beery Jr très attachant. 
Le rôle de Johnny est quand même très tiraillé entre Buff et Danny et la liberté de l'autre. les scènes ou Danny puis Buff meurent sont franchement très poignantes et la scène où Johnny secoue Helen pour faire croire qu'il règle un compte alors qu'il tente de lui faire comprendre qu'il est du bon côté de la loi est très percutante. 
Sans parler de la bagarre finale sur le train qui vaut son pesant de cacahuètes !Les deux héros ont de plus des montures magnifiques et le casting est conséquent (en plus des têtes d'affiche, amusez-vous à chercher Myron Healey, John Merton, George Chesebro, Dick Curtis ou Kenne Duncan durant l'action) L'action m'a tenue en haleine une bonne partie du film. Bref, si vous en avez l'occasion, ne le ratez sous aucun prétexte !

Titre Belges : Les éclaireurs du Texas
Lieux de tournage:
Corriganville, Ray Corrigan Ranch, Simi Valley, California, USA
Iverson Ranch - 1 Iverson Lane, Chatsworth, Los Angeles, California, USA
Sierra Railroad, Jamestown, California, USA
Stunts:
Ralph Bucko
John Cason
Tommy Coats
Chuck Hamilton
Jock Mahoney
Boyd 'Red' Morgan
Eddie Parker
Allen Pinson
Frosty Royce
Guy Teague
Al Wyatt Sr
74 minutes
George Montgomery ... Johnny Carver
Gale Storm ... Helen Fenton
Jerome Courtland ... Danny Carver - alias Bonner
Noah Beery Jr. ... Buff Smith
William Bishop ... Sam Bass
John Litel ... Texas Ranger Maj. John B. Jones
Douglas Kennedy ... Dave Rudabaugh
John Dehner ... John Wesley 'Wes' Hardin
Ian MacDonald ... The Sundance Kid
John Doucette ... Butch Cassidy
Jock Mahoney ... Duke Fisher

lundi 14 avril 2014

Thunderhoof - Phil Karlson - 1948


Scotty (Preston) poursuit son rêve de capturer le superbe étalon Thunderhoof dans le désert. Il est accompagné de sa femme Margarita (Mary Stuart), une jeune femme qu'il a sortie d'une cantina et du Kid (William Bishop), un jeune homme qu'il a sauvé autrefois des sables mouvants. 
Scotty ramène le kid ivre et l'assomme lorsqu'il veut quitter le campement. Mais le Kid veut vivre sa vie, d'autant plus qu'il est amoureux de Margarita. 
Dans le désert, alors sur les traces du cheval sauvage, Kid menace Scotty de son revolver mais celui-ci riposte et les deux hommes se battent au bord d'une falaise avant que Scotty n'aperçoivent Thundehoof. Les deux hommes lient leurs forces pour capturer l'étalon qu'ils attrapent au lasso. Dans l'action Scotty est jeté à terre et se casse la jambe.
Le Kid le ramène au campement avec l'animal qui renâcle. Margarita s'affaire et Kid remet la jambe à sa place avant de placer une attelle. Maintenant tous trois sont dépendants les uns des autres et prennent le chemin du ranch où Scotty veut commencer son élevage de chevaux à l'aide de Thunderhoof. Sa jument le suit de loin mais la traversée ne fait que commencer, la nourriture vient à manquer et le chemin est long, sans compter que Scotty souffre énormément.
Menés par le Kid ils finissent par trouver une maison dans les montagnes où ils s'installent. Les habitants ne semblent pas loin, pourtant il n'y a personne. Pendant que Scotty récupère et dort Margarita et Kid se rapprochent. Mais Scotty veille au grain et décide de reprendre la route. Au cours d'une étape son cheval est blessé par un puma et devra être abattu. Dès lors il ne reste au Kid qu'à dompter Thunderhoof sous la menace du revolver de Scotty ...

Dans le désert deux hommes et une femme sont à la poursuite d'un rêve : capturer le superbe Thunderhoof et commencer enfin une nouvelle vie. C'est une histoire terrible d'amour-haine et de jalousie. Un soupçon de loyauté fait durer le suspens mais c'est aussi l'histoire d'une promiscuité un peu délicate, voire assez malsaine. C'est donc plutôt un western psychologique !
Le jeune homme souhaite se libérer de la coupe de l'homme qui lui a autrefois sauvé la vie, de même Margarita qui a épousé cet homme plus âgé. Tous deux ont payé le prix, comme tout doit se payer dit Scotty. Mais Scotty tient à son rêve de vivre à trois dans son ranch, et l'impose aux deux jeunes. Il devient dès lors tyrannique et on comprend alors l'animosité que Kid doit ressentir envers ce type qui a tout. La haine des deux hommes grandit de façon sournoise grâce à l'agent déclencheur : Margarita !
L'action est très simple et peu nourrie, tout se joue entre les trois protagonistes et leurs sentiments les uns envers les autres. L'action lente se passe en extérieur et dans la cabane. 
Mary Stuart, magnifique dans le rôle de cette jeune femme un peu sauvage et William Bishop séduisant et plein de la fougue de la jeunesse font face à un Preston Foster vieillissant mais tenace.
Pour couronner le tout on a le magnifique Dice dans le rôle de Thunderhoof. 

William Bishop et Mary Stuart s'offrent une parenthèse musicale très agréable dans la cabane. Je n'ai pas réussi à déterminer si tous deux chantent (et joue de la guitare pour William Bishop) ou sont doublés.

A noter qu'en principe on ne meurt pas aussi vite de la fièvre typhoïde.

 


Preston Foster, Mary Stuart, William Bishop, Dice,

77 minutes

dimanche 16 mars 2014

Adventures in Silverado / Aventures dans le Silverado- Phil Karlson - 1948

                                           
D'après une histoire de Robert Louis Robertson, the Silverado Squatters 

                               
En Californie dans les années 1880, une diligence de 6 chevaux assortis menés par Zeke accompagné de Willis, un garde armé, se dirige vers Silverado. Depuis quelques temps les transports d'or de la mine sont systématiquement pillés par un bandit en robe de bure surnommé The Monk (Le moine). A l'intérieur de la diligence Robert Louis Stevenson, un écrivain venu de Grande Bretagne, fait la connaissance du Dr Henderson, le médecin de Silverado.
Sur la route devant eux, Zeke découvre une autre diligence tirée par 6 chevaux aux robes variées. Leur conducteur, Bill Foss les guide à la voix. Zeke est furieux et tente de faire la course, ainsi les deux diligences arrivent en ville ensemble et Bill s'arrête devant le dépôt des diligences Manning. Jeannie en sort et indique au nouvel arrivant qu'il n'y a pas la place pour deux exploitants de transport de la région. Les autres habitants se montrent plutôt hostiles face au nouvel arrivant. Bill préfère ne pas répondre aux provocations de Zeke qui finit par lui proposer un pari, une course de diligences. Bill n'est pas homme à parier mais devant le regard de Jeannie il finit par engager toute sa fortune. Au coup de feu tiré par Tim Quong les deux diligences bondissent en avant et s'loignent dans un nuage de poussière. Durant la course Zeke pousse de l'essieu la diligence de Bill qui s'écrase dans un bruit d'enfer. Son cheval favori, Big Fellow est gravement blessé et Bill, lui-même blessé à la main demande l'aide du Dr Henderson.Devant la gravité des blessures, Henderson lui conseille d'abattre l'animal mais Bill ne peut se résoudre à le faire, indiquant qu'il préfèrerait mourir à sa place. Il lui explique n'avoir jamais eu l'intention de s'installer à Silverado qu'il traversait avant de poursuivre sa route vers le Nord. Les deux hommes sympathisent, touché le Docteur fait de son mieux et Bill se rend à la compagnie Manning où il a l'intention de demander du travail. 
Surpris de trouver une femme à la tête du service de diligences, il préfère y renoncer mais le bon docteur va faire la demande à sa place. Ainsi Bill, moqué par Zeke, va conduire le chariot d'eau que des colons attendent en périphérie de la ville en attendant la construction d'un barrage qui devrait leur permettre d'irriguer leurs terres. Malheureusement par faute d'argent les travaux sont retardés. 
La diligence conduite par Zeke est une nouvelle fois attaquée et le chargement à nouveau dérobé par le Monk. Zeke soupçonne l'étranger dont tout le monde se méfie car il était présent au bureau lors de l'envoi de l'or par Hatfield. Jeannie qui ne se montre pas insensible aux charmes du nouvel arrivant finit toutefois par lui proposer de conduire une diligence sur une nouvelle ligne durant l'été. Bill suggère de mettre l'or dans la diligence de Zeke en faisant croire qu'il se trouve dans sa diligence mais le projet foire ...
Un très sympathique et plaisant western qu'il vaut la peine de voir. Quelques scènes vous rappelleront la course de chars de Ben Hur, version diligences bien sûr !
Les amateurs de chevaux ne seront pas déçus, on a droit à de nombreuses courses de diligences tirées par 6 chevaux, ce qui est impressionnant car il faut une sacrée poigne pour les mener et les conducteurs n'ont pas froid aux yeux en tout cas. 
L'action est tout à fait originale et complexe, les éléments à relater ne manquent pas, les personnages ont des caractères bien trempés et un passé qui nous sera conté par petite touches. 
Robert Louis Stevenson devient un personnage à part entière, ainsi il note dans son carnet ce qu'il voit et entend, et amène un peu de sagesse aux habitants plus habitués à lyncher quelqu'un avant de réfléchir. Il est secondé par un chinois établi à Silverado qui se montre plus ouvert que la plupart des habitants. Il gratifiera la petite Lucy d'une adorable et touchante petite chanson pour son anniversaire. 
Le suspens est ménagé jusqu'à la fin.
Le séduisant William Bishop a une jolie carrière cinématographique qui s'arrête abruptement à sa triste mort en 1959 à l'âge de 41 ans d'un cancer des poumons. Il campe très joliment ici Bill Foss, un garçon indépendant épris d'aventures et de liberté qui se montre très respectueux de ses chevaux, trouvés au cours de ses déplacements et nommés selon l'endroit où il en a fait l'acquisition. Ainsi les chevaux sont baptisés Utah, Colorado, Oregon, Nevada, Arizona et ... Big Fellow !
Forrest Tucker joue ici l’impétueux Zeke avec une grande gueule, le genre pas mauvais bougre qui préfère faire effet de sa force plutôt que de démontrer qu'il a un cerveau.
Gloria Henry est surtout connue pour avoir incarné Alice Mitchell dans Denis la Menace. 
Edgar Buchanan trouve ici un rôle à la mesure de son talent.
Eddy Waller a le rôle d'un colon père de famille et on aperçoit George Chesebro brièvement dans le saloon ...
J'ai passé un bon moment et bien aimé ce film très sympathique ...
Le lieu de tournage:
Iverson Ranch - 1 Iverson Lane, Chatsworth, Los Angeles, Californie
Joshua Tree, Californie
Les cascades
Ralph Bucko
Roy Bucko
Ben Corbett
Slim Gaut
George Magrill
Jock Mahoney
Eddie Parker
Frosty Royce
"Why are doing this for me ?" - "I like the way you like horses"
75 minutes
William Bishop ... Bill Foss
Gloria Henry ... Jeannie Manning
Edgar Buchanan ... Dr. H. C. Henderson
Forrest Tucker ... Zeke Butler
Edgar Barrier ... Robert Louis Stevenson
Irving Bacon ... Jake Willis
Joseph Crehan ... McHugh
Paul E. Burns ... Sam Perkins
Patti Brady ... Lucy
Fred F. Sears ... Hatfield (as Fred Sears)
Joe Wong ... Tim Quong
Charles Cane ... Sheriff
Eddy Waller ... Will Thatcher
Gloria Henry

mercredi 8 janvier 2014

They Rode West - Phil Karlson - 1954



Robert Francis, Donna Reed, Phil Carey, Onlsow Stevens, May Wynn, John War Eagle, John Kelly, Eugene Iglesias

84 minutes

Dans un avant poste éloignée d'une centaine de kilomètres de la voie de chemin de fer, une patrouille de la cavalerie est attaquée par un indien isolé. Le Major Vandergrift est blessé par une flèche tirée dans sa jambe. Le Sergent Creever tente bien de lui la retirer mais elle déchire les chaires tant elle est profondément enfoncée ce qui pousse le Major à se faire soigner au fort. Malheureusement le médecin en poste est un rustre qui a une curieuse idée de sa profession, comme ses prédécesseurs avant lui il manque de savoir-faire et perfore une artère. Le Major meurt donc rapidement, le médecin n'ayant pu enrayer l'hémorragie. Le Capitaine Blake est fou de rage de trouver son vieil ami mort pour une bavure aussi stupide.

Le Colonel du Fort demande à Washington un remplaçant qui ne soit ni alcoolique, ni drogué, ni incompétent. La troupe se rend dans la petite ville où elle attend la femme du Colonel accompagnée de sa nièce, Laurie. Un jeune homme aborde le capitaine Blake en demandant la permission de les accompagner au fort en lui tendant son ordre de mission et en se présentant, Seward, nouveau docteur assigné au Fort.
Blake le prend de haut et se demande bien pourquoi on leur envoie un blanc bec mais se montre intéressé par Laurie. Il fait apporter un cheval que Seward enfourche assez maladroitement. Après de nombreux kilomètres la troupe fait halte pour la nuit. Des Comanches profitent de l’obscurité pour dérober une vingtaine de fusils. Le sergent Creeve est assommé et Seward donne l'alerte en tirant un coup de feu alors qu'il reçoit un coup sur la tête. Arrivé au Fort, le jeune docteur découvre avec horreur son petit dispensaire, l’hygiène est nulle et les instruments mal entretenus.
Après l'avoir présenté au Colonel, le Capitaine Blake emmène Seward dans la réserve kiowas toute proche pour identifier les voleurs. Ses hommes menacent la tribu pacifique et Seward tente de venir en aide à un enfant qui lui semble bien malade. Il ne tarde pas à comprendre qu'il souffre de la malaria et communique la façon de le soigner à sa mère, Manyi-Ten, la femme de Red Leaf, le fils du chef. Il se trouve aussi que son teint clair fait comprendre à Seward qu'elle comprend l'anglais et qu'elle est blanche. Seward fait aussi la connaissance de l'homme médecine, Isatai, avec lequel il fraternise devant Blake qui se montre toute son intransigeance en lui ordonnant de cesser d'aider les indiens. 
Contacté par Maria, une aide à tout faire indienne travaillant au fort, Seward retourne dans le campement indien où il soigne bon nombre d'indiens ayant contracté la malaria. Il fait comprendre à Manyi Ten et Isatai que les Kiowas doivent quitter la réserve qui n'est pas saine.

Lorsqu'ils comprennent que les indiens ont quitté le territoire qui leur est assigné, le Colonel et Blake se montrent furieux, d'autant plus que les Kiowas se sont joints aux Comanches et que les indiens déclarent la guerre. Le docteur Seward est considéré comme un traitre et mis aux arrêts ...

Un film intéressant qui véhicule des idées humanistes. Idéaliste le docteur n'obéit qu'à son devoir de médecin et à sa conscience. Forcément il est incompris de tous et aura fort à faire pour garder son intégrité. La femme blanche doute de lui et se montre jalouse, mais l'indienne lui est reconnaissante. Le Capitaine quant à lui ne peut comprendre les idées qui animent Seward. Pour lui il n'est qu'un incapable de plus aux idées d'illuminé. Petit à petit il devrait mieux comprendre l'homme qui lui fait face mais il est incapable de l'estimer à sa juste valeur tant il se montre obtus et tant ses idées sont arrêtées.
Phil Carey se montre toujours assez rude et dur, face à cet homme solide et costaud Robert Francis à l'air presque fragile mais déterminé. Robert Francis ne tournera que 4 films, en effet il décédera à l'âge de 25 ans d'un accident d'avion.

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