Lobby Cards U S - 1952

Après les lobbies des muets, des serials et Françaises, voici pour finir les lobbies Américaines des parlants, classées par année.
                                                                      1952

Border saddlemates 1952

Buffalo Bill in Tomahawk Territory 1952

Captive of Billy the Kid 1952

Cattle Town 1952

Cimarron Kid (the)-A feu et a sang 1952

Desert Passage 1952

Desperadoes outpost 1952

Duel at Silver Creek (the)-Duel sans merci 1952

Flaming feather-Les flèches brulées 1952

Fort Osage 1952

Half-breed (the) - La peur du scalp 1952

Indian uprising-Les derniers jours de la nation Apache 1952

Last musketeer (the) 1952

 

Leadville gunslinger 1952

Lusty men (the)-Les indomptables 1952

Montana Belle 1952

Oklahoma Annie 1952

Outlaw women-Femmes hors-la-loi 1952

Pathfinder (The)1952

Pony Express-Le triomphe de Buffalo Bill 1953

Rancho Notorious-L'ange des maudits 1952

Texas City 1952

Thundering caravans-1952

Treasure of lost canyon (the) 1952

Waco 1952

Wagon team 1952

Wyoming roundup 1952

Yellow haired kid (the)  1952

                                                                    A suivre

San Antone Ambush - Philip Ford - 1949

Après la guerre civile, le commissionnaire Shattuk méprise les Texans. Il a mis sur pieds un groupe de bandits bien organisés qui dérobent un fourgon de l'armée transportant la paie des soldats, en tuent un certain nombre et arrive à faire accuser le Lieutenant Kincaid de trahison.

Emprisonné à San Antone, Ross Kincaid attend de passer en cour martiale.

A Mustang au Texas Clint Wheeler et ses hommes attaquent les diligences pour renflouer les caisses des éleveurs qui n'arrivent pas à payer les impôts exorbitants exigés par Shattuk.

Un vieux soldat proche de la retraite, Happy, fait évader Ross, leurs soupçons se portent sur Wheeler qu'ils interceptent lors d'une attaque de diligence. Les deux hommes ne tardent pas à comprendre que quelqu'un d'autre tire les ficelles ...

J'avoue que je me suis presque endormie, c'est donc avec soulagement que je lis la moyenne donnée à ce film par les spectateurs sur IMDB : apparemment ce film est loin d'avoir déclenché l'enthousiasme !
L'action est confuse et pas très plausible ...

                          60 minutes environ

Monte Hale, Bette Daniels, Paul Hurst, Roy Barcroft, Trevor Bardette, Lane Bradford, Tom London, Edmund Cobb,

Badland of Montana - Daniel B. Ullman - 1957

Daniel B. Ullman ne fait pas parti des fleurons des metteurs en scène d’Hollywood puisqu'il ne tourna qu’un western.

Il fit plutôt une belle carrière d’écrivain et scénariste avec une bonne cinquantaine de westerns en autre comme ‘Good day for a hanging’.

Derrière sa camera il  nous raconte une bonne série B :

Pour commencer nous avons une belle ballade au générique interprété par Bob Grabeau.

A Cascade  vieille ville paisible de l’Ouest  c’est jour d’élection pour le nouveau Marshall.

Le candidat Steven vendeur dans un tranning post  se rend chez son amie Emily qui l’accusera  plus tard d’avoir voulu la violenter.

Celle ci sera complice dans sa démarche avec son nouvel ami et rival de Steven.

Il sera capturé et  fouetté dans une grange par la population locale.

Ses employeurs lui donneront un coup de main à fuir la ville mais auparavant il sera obliger d’abattre son rival dans un duel avant de prendre la fuite.

Dans sa fuite il tombera entre les mains de la belle fermière Susan qui lui offrira l’hospitalité et le  soignera de ses blessures.

Mais il s’avère que le ranch est un repaire d’outlaws dirigé par le père de Susan  Henry et son complice Rick.

Lors d’un hold-up de la  banque d’Helena  il sera capturé et s’évadera grâce a l’aide de ses anciens employeurs pour aller rétablir  l’ordre a Cascade !!!...

Rex Reason / Steven Brewster

Margia Dean / Emily Branton

Beverly Garland / Susan Hammer

Keith Larsen / Rick Valentine

Emile Meyer/Henry Harrison Hammer

William Phipps / Walt Branton

Stanley Farrar / Jake Rayburn

Rankin Mansfield /Doc Travis

John Pickard / Vince Branton

Ralph Peters / Sammy Fielding

Secret of the Pueblo (The) - Neal Hart – 1923

Neal Hart/Bob Benson

Hazel Deane/Ruth Bryson

Tom Grimes/Pueblo Charlie

Monte Montague     

Une durée de 55 minutes.

En ville non loin de l'Arizona et du Nouveau Mexique. 3 cowboys viennent remettre une lettre en mains propres à un patron d'un bureau d'ingénieurs. L'un de ses collaborateurs, un ingénieur malhonnête de retour d'une contrée désertique veut mettre la main sur leur ranch qui devrait lui rapporter de grosses sommes d'argent grâce à de l'eau cachée.

Précédemment il avait réussi à connaître ce secret bien gardé par les indiens d'un pueblo grâce à l'un d'eux qui depuis avait été puni de mort pour traîtrise. Il réussit à se faire inviter au ranch de Bryson, pour lequel les trois hommes travaillent.

Une secrétaire qui surprend la conversation et qui déplaît fortement au malhonnête ingénieur est virée par son patron et rejoint in-extremis le groupe de cowboys sur le point de prendre le train pour retourner chez eux auxquels elle confie que l'ingénieur est malhonnête et animé de mauvaises intentions.

Bientôt celui-ci fait son apparition au ranch et se montre déterminé à acheter le ranch. Bryson est tout disposé à lui le vendre au grand désespoir de sa fille Ruth qui y est opposée car le contremaître, Bob Benson, lui a fait part de ses soupçons communiqués par la secrétaire...

Neal Hart

Voilà ce que c'est de vouloir découvrir un western avec Neal Hart : l'image est trouble et floue et les intertitres à peine lisibles. L'histoire n'est pas passionnante, pourtant on peut imaginer qu'elle n'est pas forcément mauvaise. C'est juste qu'il faut s'accrocher pour suivre en veillant à ne pas s'arracher les yeux sur l'écran. On a au moins l'occasion de visiter un vrai pueblo indien, ce n'est déjà pas si mal !

Monte Hale

                                         Monte Hale 1919 - 2009

Monte Hale est né le 8 juin 1919 à Ada (Oklahoma). Nous avons affaire à un cowboy B plutôt singulier. En effet, peu d'entre eux peuvent se targuer d'avoir tourné tout au long de leur carrière avec des acteurs comme Marlon Brando, Robert Redford, Jane Fonda, Elisabeth Taylor, Rock Hudson ou encore James Dean.
Il fût juste avant son décès en 2009, le dernier représentant des illustres cowboys chantants.
Mais il n'était pas particulièrement enclin à mettre en avant cette partie de sa carrière ou durant 19 films entre 1946 et 1950 il poussa la chansonnette dans divers westerns de la Republic.

Il eût également l'honneur d'être la première star du genre B à apparaître à l'écran en couleurs (Trucolor), un an avant le grand Roy Rogers (d'ailleurs la première apparition de Roy dans un film en couleurs date de 1947 ou il vient en tant que guest-star dans le troisième film de Monte utilisant ce procédé).
Son sidekick attitré Paul Hurst et sa composition de goinfre invétéré contribua pour sa part largement aux succès de ses films.
Le début de sa carrière :
Durant la seconde guerre mondiale, Monte accompagna à la guitare Lee "lasses" White (un sidekick de chez Monogram)à travers le pays pour récolter de l'argent en faveur des bons de guerre et ce en compagnie de deux douzaines d'autres acteurs.

Sa prestation fût remarquée et une lettre de recommandation en sa faveur adressée au président de la compagnie Republic (Herbert Yates) qui lui offre alors un test à l'écran.
Un essai concluant avec à la clef un contrat de sept ans.
Sa première apparition date du film "Big Bonanza" (1944) mettant en vedette Richard Arlen. De là, sa carrière décolle.
Il joua plusieurs figures historiques tout au long de celle-ci : Bat Masterson, Bill Cody, Pat Garrett.

Son cheval ‘Pardner’ l'accompagne alors dans ses aventures de cowboy-héros.
Monte choisit volontairement de situer l'action de ses films durant l'âge d'or de la conquête de l'ouest (autour de 1880) épargnant ainsi à ses fans les innombrables westerns contemporains qui alimentent alors le marché avec en tête de liste des acteurs comme Roy Rogers ou encore Gene Autry.
Certains ont jugés le caractère de Monte à l'écran un peu terne par rapport à ses amis de la Republic (Roy Rogers, Allan "Rocky" Lane ou encore Rex Allen), mais la qualité de ses films et leur faible coût de production jouèrent en sa faveur durant toutes ces années où il connu le succès.
Il décède le 29 mars 2009 de mort naturelle à son domicile de Studio City.