70 minutes
Accusé
à tort d'un crime, Lightnin' est poursuivi par monts et par vaux par un
shérif et ses hommes. Grâce à la vitesse de son cheval Satan il les
sème facilement et passe la frontière de l'Arizona où il surprend Ned
Knowles faisant une cours pressante à Mildred Manning (Hill) la fille
d'un rancher de la région. Mildred n'est pas amoureuse de Ned et se
montre ravie par l'arrivée de Lightnin' qui calme le pauvre gars en lui
tirant méchamment le nez. Plus tard Lightnin' postule au ranch Manning
où il ne trouve une place qu'après avoir rossé Bud Knowles, le
contremaître et frère de Ned. Bud et Ned complotent chacun à leur
manière pour mettre la main sur le ranch, Ned en courtisant la fille,
Bud en dérobant du bétail tout en espérant épouser lui aussi Mildred.
Celle-ci tombe sous le charme de Lightnin' et quand le contremaître
enfin viré engage son père à parier leurs ranchs respectifs sur une
course de chevaux locale, Mildred pousse son père à parier sur Satan.
Mais les frères Knowles sont bien décidé à avoir le ranch, il leur faut
donc écarter Lightnin' pour l'empêcher de concourir ...
Jack
Perrin monte dans ce film un magnifique cheval noir. L'action débute
par une course poursuite dans la montagne et on ne s'ennuie pas une
seconde. Le scénario est en fait très simple : un homme innocent qui
fuit la justice tombe amoureux de la fille d'un ranch qui lui obtient
une place de contremaitre ce qui rend jaloux l'ex-contremaitre qui sait
qu'il est recherché et va utiliser son savoir pour parvenir à ses fins.
Je vous donne en mille le twist final ? Le vrai coupable a entre temps
avoué le crime et le shérif cherche Lightnin' pour lui annoncer la bonne
nouvelle !
Je vous l'accorde, ce n'est pas très intellectuel, mais ça n'enlève rien au plaisir qu'on peut avoir à regarder le gentil et souriant Jack Perrin galoper à toute vitesse sur son beau cheval. Bien mieux qu'une opération chirurgicale pour retrouver sa jeunesse !
Pas de réalisateur indiqué sur IMDB, ni dans A Guide of the Silent Westerns de Larrry Langman, mais ne serait-ce pas quand même Horace B. Carpenter aux commandes ? Ce ne serait pas la première fois qu'on le verrait devant et derrière la caméra ...
Quelques photos puisque je n'ai rien trouvé sur la toile pour illustrer ce sujet.Je vous l'accorde, ce n'est pas très intellectuel, mais ça n'enlève rien au plaisir qu'on peut avoir à regarder le gentil et souriant Jack Perrin galoper à toute vitesse sur son beau cheval. Bien mieux qu'une opération chirurgicale pour retrouver sa jeunesse !
Pas de réalisateur indiqué sur IMDB, ni dans A Guide of the Silent Westerns de Larrry Langman, mais ne serait-ce pas quand même Horace B. Carpenter aux commandes ? Ce ne serait pas la première fois qu'on le verrait devant et derrière la caméra ...