May Et Chance - Les Journaux De June Wolf Hadley

May Et Chance - Les Journaux De June Wolf Hadley
Voici une lecture western à lire est à ranger dans votre bibliothèque. Un roman de Jim Fergus paru aux éditions ‘Actes sud’ le 03/11/2022 avec 310 pages dans un format broché de 22 x 14 cm. Le résumé : L'incroyable destin de May Dodd, l'héroïne de la trilogie Mille femmes blanches. 1875. Du fait de son mode de vie anticonformiste, May Dodd, jeune femme de la bourgeoisie de Chicago, est séparée de ses enfants avant d'être enfermée par sa famille dans un asile. Sa seule façon de s'en sortir : rejoindre un convoi de femmes blanches destinées à épouser des guerriers cheyennes. Devenue l'épouse du chef Little Wolf, May prend fait et cause pour les Indiens face aux traîtrises du gouvernement. 1877. May quitte le camp des Cheyennes pour Chicago, où elle espère retrouver ses enfants…

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vendredi 30 mars 2012

Hills of the old Wyoming –La vengeance du cowboy-Nate Watt -1936

  •  Sur la toile.
William Boyd ... Hopalong Cassidy
George 'Gabby' Hayes ... Windy
Morris Ankrum ... Andrews
Russell Hayden ... Lucky Jenkins
Gail Sheridan ... Alice Hutchins
John Beach ... Rancher Saunders
Clara Kimball Young ... Ma Hutchins
Earle Hodgins ... Thompson
Steve Clemente ... Henchman Lone Eagle
Chief John Big Tree .Chief Big Tree
George Chesebro ... Henchman Peterson 

MORRIS ANKRUM-HOPPY
 Clarence E. Mulford, l’auteur du livre  the Round-up devenu Hills of old Wyoming pour le grand écran nous raconte comment Andrew, un chef de bande, utilise un Indien pour voler du bétail qu’il récupère ensuite. Son erreur est de s’en prendre aux vaches du Bar 20. Ce qui va entrainer toute une série de rebondissements plus ou moins crédibles.
D’un haut  niveau  durant la première demi-heure, le film fléchit rapidement en intérêt et après l’avoir vu, vous vous dites que ce n’est qu’un Western B… Que de talents gâchés à cause de cette histoire.
Finalement, l’adaptation était fort honnête, mais le récit n’était pas à la hauteur des artisans de Hills of old Wyoming. La mise en scène de Nate Watt est irréprochable. De superbes plans très étudiés sont dignes des grands classiques, à l’exception de la confrontation d’Andrew (Stephen Morris) et Hopalong Cassidy qui s’avère ratée à la fin. 
Ce qui semble surprenant. Tous les acteurs sont à leur place et tous, avec une personnalité différente, vous conduiront jusqu’à  la fin sans vous ennuyer un instant.
Il y a un décalage de réalisme entre le monde des blancs et celui des Indiens qui est traité d’une façon très fantaisiste. Suite au meurtre de l’un d’eux, ils déterrent la hache de guerre et capturent Cassidy et ses deux acolytes. Habilement, Hoppy sait convaincre le chef qu’il peut lui apporter la preuve matériel qui identifiera le meurtrier. Gentil, le chef le laisse partir avec deux de ses braves. On se doute qu’ensuite les Indiens vont se ranger du côté des gentils blancs pour s’en prendre au gang…
Nous regrettons amèrement le nouveau compositeur de la musique qui avait du confondre la Paramount avec la Reliable Productions. Lors des cavalcades, l’accompagnement musical est si mauvais que l’on préférerait se passer de musique. Curieux qu’Harry Sherman ait laissé passer cela. En tout cas, ce compositeur du nom de Ralph Rainger n’interviendra plus pour les prochains Hoppy. Dieu merci.
Enfin, nous voyons pour la première fois la présence de Russell Hayden qui  restera  26 fois aux côtés de William Boyd et lui assurera un bon soutien. 
                                               
  •  Comme à l'habitude dans la stagecoach à son bord Didier....

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