May Et Chance - Les Journaux De June Wolf Hadley

May Et Chance - Les Journaux De June Wolf Hadley
Voici une lecture western à lire est à ranger dans votre bibliothèque. Un roman de Jim Fergus paru aux éditions ‘Actes sud’ le 03/11/2022 avec 310 pages dans un format broché de 22 x 14 cm. Le résumé : L'incroyable destin de May Dodd, l'héroïne de la trilogie Mille femmes blanches. 1875. Du fait de son mode de vie anticonformiste, May Dodd, jeune femme de la bourgeoisie de Chicago, est séparée de ses enfants avant d'être enfermée par sa famille dans un asile. Sa seule façon de s'en sortir : rejoindre un convoi de femmes blanches destinées à épouser des guerriers cheyennes. Devenue l'épouse du chef Little Wolf, May prend fait et cause pour les Indiens face aux traîtrises du gouvernement. 1877. May quitte le camp des Cheyennes pour Chicago, où elle espère retrouver ses enfants…

Rechercher dans ce blog

mercredi 20 mars 2013

Wild horse range – Raymond K. Johnson - 1938

Jack Randall est en fin de carrière lorsqu’il tourne Wild Horse Range. 
Il débute en 1933, mais c’est en 1936 que Robert N. Bradbury lui procure son premier rôle dans le western avec Riders  of the Dawn. Bob Livingston n’est pas étranger dans son ascension, car celui-ci est au sommet de sa gloire avec la série western des trois mousquetaires et promouvoir son frère n’a rien de difficile…  
Deux autres « Bradbury » s’ensuivent  puis c’est un déclin rapide qui attend Jack. 
Ce dernier obtient un contrat à   la Conn Pictures Productions  pour laquelle il  commence  à tourner une série de Westerns de très mauvaise facture. Tout d’abord, l’abominable et prolifique réalisateur J.P. McGowan l’emploie pour Where the West begins en 1938, Alan James qui nous a signé d’excellents Ken Maynard nous filme Land of the fighting Men  que nous n’avons pas vu. Par contre nous avons visionné Guinsmoke Trail réalisé par Sam Newfield qui nous offre là l’un de ses plus mauvais Western.
Quelque peu inquiet de la médiocre qualité de ces films, Jack Randall part à la Monogram pour  tenir le premier rôle de Man’s Country de Robert Hill. 17 autres Westerns B ; voir Z, l’attendent jusqu’en  1940. Le cowboy au visage romantique qui ne restera pas à la mémoire des têtes d’affiche du western meurt à l’âge de 39 ans.
Wild Horse Range compte parmi les films tournés par notre acteur à la Monogram en 1940. Le nom du metteur en scène crédité au générique est Raymond K. Johnson, un pseudonyme du réalisateur célèbre pour ses westerns Z à la triste réputation.
Le début du film s’avère intéressant car le scénariste, Carl Krusada, suit fidèlement l’histoire du roman dont le film est tiré, mais ses efforts s’estompent et le récit s’enlise au bout d’un quart d’heure.
 Jack Randall et son ami Frank Yaconelli (qui nous offre une excellente chanson – seule réussite du film), tous deux marchants de chevaux sauvages sont sur le point de la faillite car l’un de leur concurrent domine le marché en vendant de superbes juments à des prix défiant toute concurrence. Curieux, les deux hommes font une enquête et découvrent qu’ils sont victimes d’un véritable trafic à l’insu d’une pauvre fermière… 
Tous les acteurs sont des « vieux de la vieille » du western que nous connaissons bien, Tom London, George Chesebro, Charles King Jr., Forrest Taylor et Steve Clark, mais leurs plus belles années, comme celles du Western B,  sont derrière…
  • Le générique. 
  • Une écriture de notre ami Didier.
     

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire


Messages les plus consultés