Let's Remember:

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The Medico of Painted Spring du directeur Lambert Hillyer 1941 Une photo publicitaire Charles Starrett dans la 1e aventure du ‘Doctor Monroe’. Happy Trails to You.

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jeudi 19 septembre 2013

Wild Stallion - Lewis D. Collins - 1952

Ben Johnson, Edgar Buchanan, Martha Hyer, Hayden Rorke, Hugh Beaumont, Don Haggerty, John Hart,

70 minutes

Pendant qu'il est à la pêche, des indiens attaquent la petite ferme des parents d'un petit garçon nommé Dan Light. Seul un poulain rescapé s'enfuit au loin. Alors qu'il ensevelit le couple, un homme menant plusieurs chevaux fait son apparition et le prend sous son aile. John Wintergreen, c'est son nom, emmène le petit garçon au Fort où il va vendre ses chevaux à l'armée. Le Major Cullen accepte de garder Dan au Fort où il fait la connaissance de sa fille Caroline.

Bien des années plus tard, Dan devenu grand passe ses étés avec Wintergreen à capturer des chevaux sauvages pour le compte de l'armée. Mais lorsque le vieil homme décide de réintégrer les troupes car il devient trop vieux pour ce travail, Dan hésite sur son avenir car il ne souhaite qu'une chose, capturer son cheval, le poulain rescapé devenu maintenant un magnifique étalon blanc qui règne sur les troupeaux dans le montagnes.

Dan réussit avec douceur à se rendre maitre de l'étalon mais celui-ci s'enfuit à nouveau lorsqu'un troupeau de chevaux sauvages passe non loin de leur campement. 
L'étalon est finalement capturé et acheté par l'armée, mais Dan s'oppose aux techniques brutales du sergent Keith, chargé de dompter les chevaux. Il finit par s'enfuir avec sa monture, poursuivi par quelques soldats qui vont se retrouver sous le feu des indiens ...

Encore une sympathique histoire qui se veut d'un genre plus familial. Le cheval est magnifique, le film est servi par des acteurs que j'apprécie beaucoup, Ben Johnson bien sûr, mais aussi Hugh Beaumont dans le rôle du Capitaine, Edgar Buchanan, et même John Hart qu'on aperçoit de loin vers le corral dans la scène qui voit Ben Johnson s'en prendre à Don Haggerty.
Martha Hyer fait de la figuration et n'apparait que quelques minutes dans le film. Avec Ben Johnson on a toujours l'assurance de voir un magnifique cavalier, c'est la cerise sur le gâteau !

mercredi 18 septembre 2013

Outlaw Trail - Robert E. Tansey -1944


La 7e aventure des The Trail Blazers.
 Nos 3 Trail Blazers vont prendre la piste afin d’aider des ranchers opprimés.

La série des Trail Blazers se compose de 8 aventures dans lesquels on retrouve le trio Hoot Gibson, Bob Steele et Ken Maynard qui sera remplacé dans 2 épisodes par le Chief Thundercloud  dans cet épisode et dans ‘Sonora Stagecoach’.
-Robert Tansey en tournera 7 et Alan James prendra la révèle pour une seule aventure.
-Robert Tansey est un touche à tout dans le western B avec pas loin de 120 films tournés dont il sera producteur, réalisateur, scénariste, écrivain et même acteur à l'occasion.

Une stagecoach arrive dans la bourgade de Johnstown : A son bord Karl Beldon un important acheteur de bétail qui aussitôt sera surpris de découvrir que tous les commerces de la bourgade appartiennent à un certain John Travers, un banquier qui règne sur les ranchers de la région de Johnstown avec une poigne de fer pour acheter les bêtes à moindre prix.
La suprématie du banquier est menacée par l’arrivée du rancher Karl qui va être molesté par Chuck Walters, l’homme de main du banquier.
Notre rancher va vite informer le Marshall ‘Cap’ Fraser qui va aussitôt envoyer en mission nos Trail Blazers afin d’enquêter sur les agissements du véreux banquier.
Arrivés dans la bourgade les trois Trail Blazers se dispersent afin d'en savoir plus et vont vite constater les disparitions de Karl Beldon et de Bob Thornton, un propriétaire de ranch.
Hoot, Bob et Thundercloud vont faire face à la bande de renégats avec l’aide de la jolie Alice (fille de Bob Thornton) et du sheriff Rocky Camron pour mettre fin aux agissements du véreux banquier et de sa bande qui surviendra après quelques galopades et coups de poing bien assénés par notre héros Bob Steele…
Le tournage se passera au Ray Corrigan Ranch en Californie
-Une durée de 54 minutes et en VO.
-Au générique nous avons :
Hoot Gibson/ Hoot Gibson
Bob Steele/ Bob Steele
Chief Thundercloud/Thundercloud
Jennifer Holt/ Alice Thornton
Cy Kendall/ Honest John Travers
Gene Alsace/ Sheriff Rocky Camron
George Eldredge/ Carl Beldon
Charles King/ Chuck Walters
Hal Price/ Marshal H. A, 'Cap' Fraser
John Bridges/ Ed Knowles
Bud Osborne/ Blackie

mardi 17 septembre 2013

Fort Defiance - John Rawlins - 1951


Dane Clark, Ben Johnson, Peter Graves, Tracey Roberts, George Cleveland, Iron Eyes Cody

82 minutes

A la fin de la guerre civile Ben Shelby se rend dans un patelin paumé dans le but de se venger d'un certain Johnny Tallon qui par sa lâcheté aurait fait massacré les camarades et le frère de Ben durant une bataille seulement 3 jours avant la fin de la guerre.
Au ranch Tallon, Ben fait la connaissance de Ned, le frère de Johnny qui vit là avec leur oncle Charlie. Ned est aveugle par accident, son frère Johnny l'a protégé lorsque gamin Dave Parker l'avait attaqué avec un tesson de bouteille, blessant au passage Johnny au poignet et lui laissant une grande cicatrice. Ned voue donc une immense estime à son frère et Ben n'a pas le courage de le détromper en lui annonçant que son frère a mal tourné. Ben reste auprès des deux hommes avec lesquels il finit par se lier d'amitié. Ned cohabite avec les indiens qui le respectent car il leur offre volontiers des têtes de bétail pour leur permettre de vivre.
Lorsqu'il apprend que Johnny a été tué, Ben est sur le point de s'en retourner auprès de sa femme. Mais alors qu'il lui écrit une lettre lui annonçant son retour, il décide d'accepter l'offre de Charlie et de Ned auprès desquels il s'en retourne juste à temps pour les protéger de l'attaque de Parker, le propriétaire du saloon qui veut lui aussi se venger de Johnny en tuant son frère.
Dans l'affrontement Charlie est abattu et Ned et Ben n'ont que le temps de s'enfuir en direction d'un canyon contrôlé par les indiens. 
Après avoir semé leurs poursuivants qui sont attaqués par les belliqueux indiens, les deux hommes s'enfoncent dans le désert.
Pendant ce temps, Johnny revient au ranch où il découvre deux hommes de Parker qui enterrent son oncle et qui lui apprennent que son frère est en fuite avec un autre homme. Johnny et son acolyte suivent leurs traces et ne tardent pas à les rattraper. Bien que Johnny se montre amical envers Ben, celui-ci n'a qu'une idée en tête, abattre celui qui a provoqué la mort de son frère ...
Un début intéressant mettant en scène deux hommes, l'un désireux de se venger, l'autre innocent et aveugle. Le film devient alors un peu longuet, avant de capter à nouveau l'attention avec l'arrivée de Johnny, interprété par l'excellent Dane Clark qui vole le film dès ce moment malgré la présence indéniable de Ben Johnson.

On comprend que Johnny est un garçon droit malgré son passé, on comprend aussi que sachant la fin de la guerre proche il ait préféré se rendre, provocant au passage la mort de ses camarades et l'incompréhension de son frère qui ne lui connaissait pas de faiblesse. Lui-même avoue qu'après s'être battu pendant trois ans comme un beau diable au risque de perdre la vie, à l'annonce de la fin de la guerre si proche il a préféré s'assurer de rester vivant. Difficile de ne pas être sensible à l'argument !

C'est toujours un plaisir de voir Ben Johnson, un acteur criant de naturel doublé d'un merveilleux cavalier. 

Un excellent film qui mériterait une belle édition !

dimanche 15 septembre 2013

The Utah Kid - Richard Thorpe - 1930



Richard Thorpe est un friand du western.
Il en tournera pas loin de 70 dont la majorité à l’époque du muet pour des petites compagnies.
 En 1935 il s’installe à la MGM pour y travailler jusqu'en 1967 pour son dernier western ‘The Last Challenge’ avec Glenn Ford.
Richard nous entraine au coté d’Utah Kid et de Boris Karloff, un henchman qui deviendra célèbre dans l’horreur en 1932 grâce à Frankenstein.

Quatre hommes de loi planqués dans un canyon vont essayer de prendre au piège un cavalier qui est en train de prendre la fuite pourquoi ? On ne le saura jamais.
Aussitôt une poursuite s’engage mais notre cavalier est plus malin de même que son Pinto qui feint le mal de pattes et fait croire que son cavalier l’a abandonné, mettant ainsi les hommes de loi dans la mauvaise direction.
Grâce à lui le cavalier Cal Reynolds connu sous le nom d’ ‘Utah Kid’ va prendre le large et ainsi échapper à la loi.
Utah Kid va ensuite trouver refuge dans un repaire de bandits où il fera une entrée excellente dans le saloon tenu par le soupçonneux chef de gang Butch mais Utah Kid va lui tenir tête.
Dans le saloon, buvant son bourbon, Utah Kid va faire la connaissance du vieux prêcheur Parson Joe.

Lorsqu’entre dans le saloon le mauvais Baxter tenant par la main Jennie Lee, maîtresse de l’école de la ville voisine, Utah Kid va prendre sa défense en annonçant qu'il s'agit de sa fiancée qui le suivait jusque là.
Grâce à l’aide d’Utah Kid Jennie pourra repartir vers la ville et va rendre des comptes de sa mésaventure à son ami le Sheriff  Jim Bentley.
Le véreux Butch ne se laisse pas prendre par l’histoire d’Utah Kid qui  aussitôt va l’affronter dans une bagarre à poings nus et Utah Kid s’en sortira haut la main.
Nous n’oublions pas nos hommes de loi qui avec l’aide du Sheriff Bentley sont toujours à la recherche d’Utah Kid. Ils vont enfin découvrir le repaire de la bande et mettre tout ce beau monde sous les verrous sauf les caïds Butch et son complice Baxter qui vont réussir à prendre la large.
Utah Kid sera pourchassé par le Sheriff et, pendant leur affrontement, le sheriff sera blessé gravement et Utah Kid aussi à l’épaule.
Pris de remords il va le prendre en charge et le ramener à la ferme de Jennie.
Nos 2 amis vont pouvoir affronter les 2 derniers malfrats et les mettre hors d’état de nuire et notre ami Utah Kid va enfin faire sa déclaration à  la belle Jennie !... 

La durée 45 minutes en VO à découvrir une rareté de chez Oldies avec une copie passable.

 
Un générique pas mauvais du tout.
Rex Lease /Cal Reynolds
Dorothy Sebastian /Jennie Lee
Tom Santschi /Butch
Boris Karloff /Henchman Baxter
Walter Miller/Sheriff Jim Bentley
Lafe McKee /Parson Joe
Bud Osborne/Deputy
Mary Carr /Aunt Ada




samedi 14 septembre 2013

Crashing Thru - Ray Taylor - 1949


Whip Wilson, Christine Larson, Andy Clyde, Tristam Coffin, Steve Darrell, Kenne Duncan
Scénario d'Adele Buffington
57 minutes
Deux hommes embusqués guettent le signal de leur complice, une jeune femme nommée Stella qui se trouve dans une diligence qui transfert de l'or. A son signal indiquant que le chargement est bien là, les deux hommes donnent l'attaque et descendent le garde à côté du conducteur. La diligence est dérobée et le conducteur, qui n'est autre que Whip, un investigateur de la Wells Fargo incognito apprend que son garde était le ranger Raymond, secrètement mandaté par les habitants d'une petite ville pour contrer les bandits qui y font la loi.
Le seul autre passager est un certain Winkle qui vient de faire l'acquisition de la forge locale et qui va découvrir qu'il s'est fait gruger par le propriétaire du saloon, Cliff, qui est aussi le petit ami de Stella.
Whip se fait donc passer pour Raymond et impose tranquillement sa loi. Ainsi il prend la défense de Winkle qu'il héberge dans la petite maison mise à sa disposition par les habitants de la ville et réussit à interdire la vente d'alcool le dimanche. Petit à petit Stella se rend compte que Cliff n'a aucun scrupule et fait la connaissance de l'homme qui tire les ficelles, qui n'est autre que Mason, le porte parole de la ville.
Les choses se compliquent lorsqu'une charmante demoiselle fait son apparition en prétendant être la sœur de Raymond ...

Un sympathique épisode, le premier de la série dans lequel Whip se fait appeler ... Whip. Il fait donc ainsi la connaissance de Winks qui semble un peu plus dégourdi que d'habitude. Le film comporte une chanson chantée très joliment par Christine Larsen et on a la chance d'entendre Whip chanter brièvement tout à la fin.
Kenne Duncan s’acquitte très bien de ce rôle de ranger mourant qui lui donne l'occasion de de démontrer ses talents d'acteur.
On ne s'ennuie pas une seconde. Décidément ces films mériteraient une bonne restauration, ils le valent bien !
"Poor Tarnished Butterfly" chanté par Christine Larson
"Yippi-I-O-I-Ay" chanté par Whip Wilson


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