Let's Remember:

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Streets of Laredo/ La chevauchée de l'honneur de Leslie Fenton 1949. William Holden 1918-1981 / Mona Freeman 1926-2014 1878 le Texas est un vaste territoire encore mal organisé où les hors-la-loi ne risquent rien…

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lundi 17 février 2014

Rebel in Town - Alfred L. Werker - 1956



 

Une durée 78 minutes
Pour le générique
John Payne / John Willoughby
Ruth Roman / Nora Willoughby
J. Carrol Naish / Bedloe Mason
Ben Cooper / Gray Mason
John Smith/ Wesley Mason
Ben Johnson / Frank Mason
James Griffith / Marshal Adam Russell
Mary Adams/ Grandma Ackstadt
Bobby Clark / Peter Willoughby
Mimi Gibson / Lisbeth Ackstadt
Après la guerre de Sécession, un petit garçon passe son temps à jouer au soldat chez lui : le jour de son anniversaire, alors que deux frères anciens Confédérés abreuvent leurs chevaux à l'abreuvoir de la petite ville, il s'approche avec un pistolet nouvellement offert par l'une de ses camarades et le déclic provoque le tir de Cain Mason qui abat le petit garçon d'un coup de feu.

Les deux confédérés prennent la fuite pour rejoindre leurs deux autres frères et leur père. John Willoughby (Payne) le père du petit garçon cherche à le venger ...
On comprend dès le début que la guerre bien que terminée, a laissé de nombreuses séquelles.
Le fils de John (Payne) et de Nora (Roman) Willoughby est imprégné de haine et passe son temps seul dans la cour, vêtu de l'uniforme de l'union de son père, à agir et à parler comme un soldat et s'entraîne à décapiter un mannequin contre l'avis de sa mère qui préférerait le voir jouer avec d'autres enfants de son âge ... Évidemment lorsqu'il aperçoit ces deux anciens soldats confédérés abreuvant leur chevaux en ville, il ne peut résister à continuer le jeu ...
Le groupe des rebelles est composé d'un père et de ses quatre fils et les interactions entre eux sont particulièrement passionnantes

Ce qui est intéressant c'est la confrontation des deux groupes par la suite... Encore un film qui m'a tenu en haleine tout le long !

Rebel in Town est un excellent film qui mérite assurément une édition DVD.

La chanson du générique est excellente.
Ruth Roman

dimanche 12 janvier 2014

Pillars of the sky/Les piliers du ciel - George Marshall - 1956


Le tournage était destiné pour John ford et son acteur fétiche ‘The Duke’ qui  seront remplacés par  George Marshall et  l’acteur Jeff Chandler.
Un coup de cœur sur Jeff : Après ‘War arrow’ 1953, j’ai  enchainé aussitôt avec ce dernier et va suivre ‘Drango’ de 1957.
  Revoici Jeff encore un fois sous l’uniforme des tuniques bleues qui va l’entrainer dans les années 1860  parmi la tribu indienne du territoire de l’Oregon ‘Les Palouses’. Indiens qui vivaient tranquilles dans leur réserve accordée par un traité et administrée par un pasteur pacifique.
Sous un fond de montagne enneigée et de forêts, la troupe d’US Cavalry avec à sa tête le sergent Emmett Bell vient de recevoir les ordres de leur supérieur le colonel Edson Stedlow qui par sa folie entend  construire  un pont et une route  au travers de la réserve Indienne au nord de la rivière Snake pour ouvrir la voie aux nouveaux colons.
Le Sergent Emmett Bell va être reçu par le pasteur Joseph Holden qui vient juste de donner le baptême  d’un bébé d’un couple de jeune Indien.
Le Sergent vient de ramener au pasteur un jeune prospecteur tué par une flèche Indienne et lui fait part de la détermination du Chef  Kamiakin de s’opposer par la force à la violation du traité.
Ce dernier avec certains Chefs de tribus sentent que le traité a été bafoué veulent prendre à tout prix les armes pour décider de contre attaquer.
Le chef Kamiakin va informer l’armée qui détient 2 blanches dont l’une est Calla Gaxton la femme du Capitaine Tom Gaxton qui à tenter d’entrer en terre indienne afin de déclencher une guerre.
Par une nuit sombre une petite troupe menée par le Sergent et le pasteur vont se rendre dans la tribu afin de libérer Calla qui fut autrefois la fiancée du Sergent.
Kamiakin va jurer de mener ses hommes dans une bataille finale qui va couter la vie au pasteur Holden  et permettre à Emmett Bell de ramener la paix.

Un bel aperçu au générique :
Jeff Chandler/First Sgt. Emmett Bell
Dorothy Malone  /Calla Gaxton
Ward Bond /Dr. Joseph Holden
Keith Andes  /Capt. Tom Gaxton
Lee Marvin  /Sgt. Lloyd Carracart
Sydney Chaplin  /Timothy
Willis Bouchey  /Col. Edson Stedlow
Michael Ansara  /Kamiakin
Olive Carey  /Mrs. Anne Avery
Charles Horvath/Sgt. Dutch Williams
Orlando Rodriguez  /Malachi 

L'afiche Française de 120x160

samedi 14 décembre 2013

Showdown at Abilene / Les dernières heures d’un bandit - Charles F. Haas -1956


Showdown at Abilene, c’est tout d’abord une belle et forte histoire de Clarence Upson Young, puis une mise en scène bien réglée présentant des personnages de chair et de sang puissamment interprétés par Jock Mahoney, Lyle Betger, Martha Hyer, David Jansen et Ted de Corsia.
Que d’atouts pour ce Western de série B injustement méconnu. Un des points qui me surprend le plus reste la composition de Jock Mahoney qui se surpasse.
Notre Jock Dakota interprète Jim Trask, un vétéran de la guerre de Sécession qui revient dans sa ville d’origine. Traumatisé par la guerre, il ne veut plus entendre parler d’armes à feu, aussi reprendre le titre de Sheriff qu’il occupait n’est pas dans ses perspectives. En fait,  sa seule volonté de vivre  réside dans le fait de retrouver  la jeune fille qu’il aimait avant de partir sous les drapeaux du brave général Lee.
Mais tout a changer en plus de quatre ans. Les lieux, les gens et ses proches dont  son meilleur ami  Dave et la jeune fille Peggy… Il est reçu comme un fantôme à Abilene qui ne va pas tarder à connaitre la réception de milliers de têtes de bétail. Tous le croyaient mort. Mais peut-être aurait il mieux valu. Il doit accepter la vie telle qu’elle est. Son ami Dave, malgré la perte de sa main droite, est devenu un grand Cattleman et il sait que la ville est promise à un brillant avenir. Il a réussi dans toutes ses entreprises au cours de ces quatre dernières années, même à  s’accaparer la main de Peggy.

Finalement Track aurait du être Dave s’il n’était parti se battre.
Jim Track souffre du passé et du quotidien. Il ne sait plus ce qu’il doit faire, vers qui se tourner. Il est consterné d’apprendre par les fermiers locaux que le Sheriff d’Abilene n’est qu’une crapule au service d’un magma du bétail qui souhaite leur départ, à tous. Ces derniers  souhaitent le voir arborer la tin star, comme jadis, mais Jim refuse. Il refuse également d’accepter que Peggy se marrie avec Dave. Il renonce à l’idée que celle-ci n’éprouve plus de sentiments envers lui ; tout n’est peut-être pas mort ? Une flamme d’espérance le fait réagir malgré sa situation peu enviable.
Tout au cours de ces jours qui s’ensuivent, il s’aperçoit que Dave est devenu un arriviste, persuadé qu’il va accéder au sommet de l’évolution moderne avec l’arrivée prochaine du train. Jim commence aussi à comprendre que tous les maux qui rongent les fermiers proviennent de cet ami qui a mis en place le Sheriff avec des suppléants sortis de l’enfer…
Le générique :
Jock Mahoney /Jim Trask
Martha Hyer /Peggy Bigelow
Lyle Bettger /Dave Mosely
David Janssen /Verne Ward
Grant Williams /Chip Tomlin
Ted de Corsia /Dan Claudius
Harry Harvey /Ross Bigelow
Dayton Lummis /Jack Bedford
Richard H. Cutting /Nelson
Robert G. Anderson /Sprague


mercredi 13 novembre 2013

Quincannon, Frontier scout - Lesley Selander - 1956


Peggie Castle
Après avoir tourné The Broken Star pour Bel Air Productions, excellence du Western, Lesley Selander enchaine avec  Quincannon, Frontier Scout, toujours pour le bénéfice d’Howard Koch, producteur de cette maison de production.  
Koch sait que pour faire un bon film, il faut une bonne histoire. C’est la raison pour laquelle il achète les doits de Frontier Feud, l’un des plus grands romanciers de la Western Novel. 
Le nom de Will Cook résonne aux oreilles des lecteurs de ce genre comme le nom de John Ford résonne aux oreilles des cinéphiles. 
Will Cook demeure au dessus de tout avec une poignée de collègues de son niveau : Elmer Kelton, Clifton Adams, Fred Grove etc.



Linus Quincannon (Tony Martin) est une légende dans l’armée américaine. Malheureusement, celle-ci s’en trouve privée depuis qu’il a participé malgré lui au massacre des Cheyennes de Black Keetle. Dorénavant, Quincannon consacre son temps pour lui-même.

Un jour, deux civils le joignent à son insu dans une petite ville de l’ouest pour lui proposer de revenir au service de ce brave Colonel  Conover (Morris Ankrum) qui se trouve dans une position peu enviable. 
Quincannon refuse, une bagarre éclate. Puis Quincannon se laisse persuader de suivre ces deux hommes qui ne sont autres que des militaires.

Parvenu au fort, Quincannon se voit expliquer par le colonel que le convoi transportant des Carabines Henry a été attaqué mystérieusement alors que personne, en dehors de lui et de son bras droit, connaissait le contenu des chariots. 
Ce serait un Indien Arapahoe qui détiendrait les armes. Cela lui permettrait de se mettre en avant pour prendre la tribu en main et déterrer la hache de guerre. 


Parallèlement à cette introduction, une charmante jeune femme (Peggy Castle) se trouve mêlée à toute cette affaire. Elle souhaite prendre part à l’expédition de Quincannon pour retrouver son frère qui aurait été tué dans l’embuscade indienne. 
Le Colonel  lui propose des effectifs importants pour l’accompagner, mais celui ne souhaite emmener avec lui que les deux militaires avec qui il s’était bagarré. Selon son avis, un petit groupe a plus de chances de passer inaperçu en territoire indien qu’un important détachement…

Le film est fort bien mené par Lesley Selander et l’action règne en maître comme l’on peut l’imaginer aisément. Parti d’un canevas banal, Will Cook prend plaisir à tisser sa toile en imbriquant personnages et situations particulières, créant ainsi  de multiples rebondissements. Mais ce que nous retenons à travers ce western, c’est la richesse des dialogues et les connaissances de notre éclaireur sur la façon de vivre des Indiens et leurs coutumes guerrières . En réalité, c’est Will Cook qui parle, qui nous donne des détails succulents,  procurant ainsi  au long-métrage un niveau supplémentaire aux westerns traditionnels du  genre : cavalerie – indiens – trafic d’armes.

Cependant, Quincannon, Frontier Scout accuse quelques faiblesses. Tout d’abord, l’acteur Tony Martin manque de nuances. Il se contente de jouer les durs et à force, il a tendance à nous lasser. 
D’une façon générale, le casting n’a rien d’exaltant. Il y a bien Morris Ankrum et John Doucette, mais leur personnage s’avère inconsistant. 
Enfin, Lesley Selander ne laisse guère de marque personnelle comme il l’a fait pour un grand nombre de ses Westerns, comme The Broken Star ou Knight of the Range – sans oublier naturellement – ses Hopalong Cassidy. Enfin, le film aurait gagné à être réalisé en noir et blanc et non en couleur.

Sur la toile :
Tony Martin /  Linus Quincannon
Peggie Castle /  Maylene Mason
John Bromfield /  Lt. Burke             
John Smith /  Lt. Phil Hostedder
Ron Randell /  Capt. Bell
John Doucette /  Sgt. Calvin
Morris Ankrum /  Col. Harry Conover
Peter Mamakos /  Blackfoot Sam
Edmund Hashim /  Iron Wolf

mercredi 30 octobre 2013

Massacre - Louis King - 1956


Dane Clark, James Craig, Martha Roth, Miguel Torruco,

76 minutes

Au Mexique, des bandits fournissent des fusils aux indiens Yakis vivant dans une région montagneuse isolée.
Un capitaine et ses rurales sont sur leurs traces. Au trading post les hommes trouvent Angelica, la femme du trader Chavez qui est à la tête des bandits. La femme prétend ne rien savoir des activités supposées de son mari alors que surviennent d'autres indiens qui souhaitent mettre la main sur Chavez pour se venger d'un médicament qu'il a vendu et qui rend aveugles les enfants de leur tribu. A nouveau Angelica tente de couvrir son mari mais le capitaine n'est pas dupe et donne son aval aux indiens qui mettent le feu au comptoir qui part en fumée.
Les rurales emmènent donc la femme sur les traces laissées par les chariots lourdement chargés. Un guide leur est fourni par les indiens qui ont brulé le comptoir de Chavez. Commence ainsi la traque mais Angelica se fait très aguicheuse auprès du Lieutenant qui succombe à son charme très rapidement ...

Une histoire très peu conventionnelle dont l'un des attraits principaux est la haine que se vouent Angelica et le Capitaine qui ne se laisse pas tromper par l'apparence de la jeune femme, contrairement à son lieutenant qui n'a pas beaucoup de jugeote. Les dialogues sont excellents dans le genre acerbe.
Les décors naturels du Mexique et peut-être aussi du Guatemala nous changent des lieux de tournages habituelles de westerns. L'uniforme des rurales mexicains est très attractif et les hommes ne sont pas montrés de façon ridicule comme cela est si souvent le cas. 
Le réalisateur les dépeint bien, les hommes chantent joliment, ils parlent de Lupita ou de Maria qu'ils ont connu ici où là et du coup on les trouve sympathiques.

Dane Clark la joue pincé et assez dur, il reste maitre de la situation et profite de l'amour voué par son Lieutenant à la jeune femme pour les laisser s'échapper et ainsi arrêter les bandits avant qu'il ne soit trop tard. Dans une esquisse de pacification il laissera entendre que sa famille a été massacrée par des indiens alors qu'il était très jeune. Malgré ses explications Angelica ne montre aucun intérêt pour le Capitaine et l'envoie paitre sans façon. 
Les rurales savent qu'ils vont à leur mort et le Lieutenant réparera ses erreurs de manière héroïque ...
Pour finir les Yakis déferlent comme des sauterelles sur les hommes qui se battront jusqu'au bout. La fin manque un peu de consistance en terminant de façon trop abrupte. On reste ainsi sur sa faim et dans le questionnement devant l'image du guide qui se montre indiférent à la bataille qui se livre plus haut et qui se fait rotir un lapin. On imagine que dans le fond rien ne change vraiment pour les indigènes ?
Comme le souligne ma fille, les spectateurs masculins doivent apprécier ce film. Moi j'ai bien aimé aussi !

Si vous aimez les chevaux, essayez d'apercevoir le rouan bleu !

Goof : on voit au début des chars à deux roues tirés par des boeufs, or les rurales parlent de chargement tirés par des mules.

Produit par Lippert Pictures le film est partiellement tourné au Guatemala mais un soulèvement militaire força le tournage à se poursuivre au Mexique, poussant à l'abandon au passage d'une partie du matériel.
C'est le dernier film dirigé par Louis King. Il se consacre ensuite à des épisodes de séries produites pour la télévision.

Ce film est annoncé par Sidonis depuis un bon bout de temps, verra-t-il enfin le jour prochainement ? le suspens est grand !
A ne pas confondre avec Seminole tourné en 1953 par Budd Boetticher avec Rock Hudson, Barbara Hale et Anthony Quinn, aussi intitulé parfois "Massacre".

samedi 26 octobre 2013

The Lone Ranger / Le justicier solitaire - Stuart Heisler - 1956

Clayton Moore, Jay Silverheels, Lyle Bettger, Bonita Granville, Michael Ansara, Robert J. Wilke, Frank deKova, John Pickard, Beverly Washburn, Perry Lopez, Lee Roberts

86 minutes
Le justicier solitaire


Kilgore est un riche propriétaire foncier. Son ranch se trouve non loin d'une réserve indienne où vivent Red Hawk, un vieux et sage chef et son  peuple. La région est peu sûre car du bétail est dérobé et des crimes perpétrés. Le gouverneur se rend dans la petite communauté dans le but de découvrir qui se cache derrière ces crimes. Kilgore et la moitié de la population sont convaincus qu'il s'agit là d'attaques des indiens et prie l'envoyé de Washington de déplacer la réserve. Or il se trouve que Kilgore pourtant déjà propriétaire de nombreux hectares s'intéresse de très près à la réserve des indiens car la montagne possède de riches veines d'argent...
Le gouverneur charge le Lone Ranger et son fidèle Tonto d'enquêter. Ils se font aider par un jeune mexicain Pete Ramirez que le Lone Ranger a sauvé d'une attaque de voleurs qui disparaissent mystérieusement derrière l'entrée de la réserve des Indiens.
Engagé comme homme de main par Kilgore pour mener un troupeau à Abilene, Ramirez sera précieux pour ses observations. A Abilene Cassidy se doute malheureusement que le jeune homme a vu la dynamite qu'il compte ramener secrètement à Kilgore et l'abat sans façon, de même qu'il a abattu le père du shérif Kimberley.
Le Lone Ranger et Tonto ont fort à faire pour maintenir la paix, tant chez les indiens que Angry Horse harangue afin qu'ils attaquent que dans la petite ville influencée par le pouvoir de l'affreux Kilgore ...

Le Lone Ranger en couleurs, youpie ! L'action est constante et bien construite. D'un côté Kilgore, père de famille qui adule sa petite fille en la traitant comme le fils qu'il aurait souhaité avoir tout en méprisant sa femme qui vient de l'Est et à laquelle il ne manque pas de rappeler qu'elle ne peut pas comprendre en l'éloignant de sa petite fille. De l'autre on a les indiens menés par Red Hawk (incarné par cet acteur polyvalent et excellent, je nomme Frank deKova !) qui doit faire face à la fougue de son bras droit Angry Horse (alias Michael Ansara dans un autre rôle d'indien).
Lee Roberts et John Pickard
Au milieu on a une petite communauté d'où émergent deux esprits libres, le shérif Sam Kimberley (John Pickard) et John Muller (Lee Roberts) l'attaché aux affaires indiennes : Tous deux tentent plus ou moins de contrer Kilgore et son affreux homme de main Cassidy, incarné par le toujours inquiétant Bob Wilke.
 The Lone Ranger se déguise en vieil homme pour obtenir des informations et son fidèle Tonto se voit sur le point d'être lynché par la foule en colère. Avec l'aide de Scout et de Silver nos deux super héros vont s'en sortir non sans difficulté !
Que du plaisir ce film !

L'un des derniers films de Bonita Granville qui, après avoir épousé le producteur Jack Wrather se tournera vers la TV puis vers la production en produisant les Lassie.
Sa dernière brève apparition sera dans The Legend of the Lone Ranger 1981.

.. Et encore Kermit Maynard, Buddy Roosevelt, Jack Mower et Lane Chandler !


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