78 minutes
Rock Hudson, Chubby Johnson, Marcia Henderson, Steve Cochran, Hugh O'Brian
Sur une piste enneigée en Alaska, deux hommes assassinent un homme en train de prier devant un autel et lui volent son chien. Plus tard et plus loin dans un village au bord de la mer, le Capitaine Keith et sa femme s'apprêtent à appareiller avant l'arrivée des glaces, le navire étant plein de peaux précieuses.
Paul Blake, un arriviste sans foi ni loi les invite à passer une soirée en sa compagnie et celle de son partenaire Frank Hudson. Il a secrètement la ferme intention de s'approprier de la femme du capitaine et de s'emparer de la cargaison en se débarrassant du mari;
du coup il ne va pas hésiter à lui envoyer une fausse lettre du gouvernement lui intimant l'ordre d'attendre une inspection qui devrait avoir lieu dans plus d'une semaine. De plus il réussit à faire enlever deux hommes d'équipage qu'il fait saouler et emmener dans un village éloigné. Loin de se décourager Keith qui a la ferme intention de partir de toutes manières part à leur recherche ....
du coup il ne va pas hésiter à lui envoyer une fausse lettre du gouvernement lui intimant l'ordre d'attendre une inspection qui devrait avoir lieu dans plus d'une semaine. De plus il réussit à faire enlever deux hommes d'équipage qu'il fait saouler et emmener dans un village éloigné. Loin de se décourager Keith qui a la ferme intention de partir de toutes manières part à leur recherche ....
Un film dont le scénario est franchement faible. Rock Hudson est habillé de façon ridicule, sa femme est en petit pull alors qu'il porte une peau de bête beaucoup trop sophistiquée, à l'aller le parcours en traineau passe à travers des plaines et le retour des hommes à pieds passe par des sommets aux sentiers plus qu'étroits. La femme de Keith est habillée comme une potiche, le scénario la voue à un rôle de la femme-objet avec ceinture serrée et soutien gorge obus, super pratique pour sévir dans le grand nord.
Heureusement il y a une jolie bagarre vers le milieu du film et le partenaire de Paul apporte un peu de piment au film grâce à sa malhonnêteté digne de son partenaire. Sinon il n'y a pas grand chose à se mettre sous les yeux, à part de jolis paysages et un très beau chien pas non plus adapté aux frimas du Nord.
Rien à voir avec la version de 1919, pourtant tirée du même ouvrage de James Oliver Curwood
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