Let's Remember:

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Streets of Laredo/ La chevauchée de l'honneur de Leslie Fenton 1949. William Holden 1918-1981 / Mona Freeman 1926-2014 1878 le Texas est un vaste territoire encore mal organisé où les hors-la-loi ne risquent rien…

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jeudi 25 juillet 2013

Silver Raiders - Wallace Fox - 1950



 Whip Wilson, Andy Clyde, Leonard Penn, Marshall Reed, Virginia Herrick, Reed Howes, Kermit Maynard, Patricia Rios,

55 minutes

Pour sa première mission, le ranger Larry Grant est envoyé à Silver Spring près de la frontière mexicaine car son visage y est inconnu. Le colonel lui adjoint deux hommes, Bill et George, pour lui apporter toute l'aide nécessaire le cas échéant pour le soutenir dans son enquête qui vise à découvrir qui sont les bandits qui pillent la région.
Comme le moyen le plus simple de se faire connaitre est de se faire passer pour un bandit, Larry fait mine d'agresser un passant, qui n'est autre que son partenaire George. Sur les conseils de sa fille Patricia qui reconnait Larry d'après le poster de recherche qui vient d'arriver, le peu téméraire shérif Jones arrête Larry que sa fille Patricia choie ensuite avec de bons petits plats maison qu'elle lui amène dans sa cellule.
Évidemment les bandits qui manquent d'hommes ne tardent pas à venir libérer Larry qu'ils emmènent dans leur repère qui n'est autre qu'une mine dont le gisement est épuisé (et bien sûr il ne faut pas confondre "mine de rien" et "gisement épuisé" !) mais qui sert de couverture pour faire transiter la marchandise. Son propriétaire et chef de la bande n'est autre qu'un citoyen respecté, Lance Corbin.
George et Bill les deux rangers attendent des nouvelles de Larry qui ne tarde pas à descendre une falaise à l'aide de lassos pour leur annoncer que les bandits sont sur un nouveau coup. En effet ils viennent de kidnapper la fille d'une riche hacienda voisine mais heureusement Larry veille ...
Un western un peu moins palpitant ou alors c'est la chaleur de ce mois de juin qui altère mon opinion. On a toutefois la chance d'apercevoir quelques vétérans du cinéma, Reed Howes, Kermit Maynard, et deux jolies filles qui ont l'air de bien plaire à Whip, Patricia Rios (dont c'est le seul film) et Virginia Herrick. Pas beaucoup de bagarres qui vont manquer à tous les amateurs d'échanges de coups de poings.


mercredi 24 juillet 2013

Trouble in Sundown / Les pillards du Texas - David Howard - 1939



David Howard réalisateur fécond de séries B en 1939 nous fera découvrir Rita Hayworth dans ‘The Renegade Ranger’.

David tournera pas moins d’une trentaine de westerns avec principalement George O’brien sa vedette fétiche entre 1930 à 1941.
Il décédera en 1941 à l’âge de 45 ans d’une crise cardiaque.


Dans la bourgade paisible de Sundown 3 hommes rôdent par une nuit noire devant une banque afin de commettre un cambriolage mais sont surpris par le veilleur de nuit qu’ils assomment.
Au matin le banquier John Cameron et sa fille June se rendent à la banque afin de prendre leur service et vont bien vite découvrir  le cambriolage.
Le vieux banquier va ouvrir aussitôt le coffre et là il découvre à l’intérieur le veilleur de nuit mort étouffé et constate qu’une grosse somme d’argent a disparu.
Pendant ce temps 3 joyeux amis arrivent dans la bourgade Clint Bradford, Whopper et Andy afin de se rendre à la banque pour un retrait de liquidité.
Clint arrive à la banque où 2 véreux, Dusty et Tex, incitent la foule à l'émeute face à la disparition de l'argent des épargnants. Ils font porter les soupçons sur le banquier car il est le seul à avoir la combinaison du coffre fort.


Clint sent que la foule est sur le point de lyncher le banquier John et il prend sa défense en le faisant échapper et ainsi apaiser sa fille June.
Clint exerce son cerveau et ses muscles afin de découvrir la vérité avec l’aide de ses amis Andy et Whopper. Très vite les amis comprennent que les affreux Dusty et Tex sont à la solde de l’agent immobilier Ross Taggett qui  mène la vie dure aux fermiers de la région afin de les expulser et de s’approprier de leurs terres à bas prix.
Clint et son acolyte Whopper vont mener l'enquête et découvrent qu’une chambre au-dessus de la banque possède un trou au sol ce qui permet de lire les chiffres du coffre.
Il ne leur reste plus qu’à prouver au tribunal la culpabilité de Ross et faire disculper enfin le banquier !...
Nous pouvons découvrir au fil des 59 minutes 2 ballades interprétées par Ray Whitley ‘Prairie winds’ et ‘Home on the prairie’


David va nous installer un super  générique :

George O'Brien / Clint Bradford
Rosalind Keith / June Cameron
Ray Whitley / Andy
Chill Wills / Whopper
Ward Bond / Henchman Dusty
Cy Kendall / Ross Daggett
Howard C. Hickman /John Cameron
Monte Montague / Henchman Tex
John Dilson / Edward Simmons
Otto Yamaoka / Foo Yung (cook)

mardi 23 juillet 2013

Ghost Town Law -Howard Bretherton - 1942


Est la 5e aventure des Rough Riders
Deux US Marshall sont assassinés en chassant des bandits dans une ville fantôme. Envoyés sur les traces de leurs prédécesseurs, les Rough Riders tendent un piège ....
Une bonne histoire pleine de rebondissements. L'intrigue se passe entre des maisons et des souterrains qui communiquent entre eux.
  62 mn en VO et au générique nous avons.
Buck Jones/ Marshal Buck Roberts
Tim McCoy/ Marshal Tim McCall
Raymond Hatton/ Marshal Sandy Hopkins
Virginia Carpenter/ Josie Hall
Murdock MacQuarrie   / Judge Crail
Charles King/ Gus, a thug
Tom London/ Ace, chief thug
Howard Masters  / Tom Cook
Ben Corbett/ Red Larkin

lundi 22 juillet 2013

Hop-a-long Cassidy –Howard Bretherton - 1935

  •  Le 23 août 1935 fait date dans l’histoire du Western. 
C’est le jour de la sortie de Hop-a-long Cassidy, le premier film d’une série de 66 épisodes qui fera 
accourir le monde entier avec juste raison. 
C’est la Paramount qui finance ce chef d’œuvre et Harry Sherman qui le produit en investissant des moyens importants dans un Western que l’on aurait pu qualifier de B si s’il avait été produit par une petite compagnie de production indépendante comme il y en avait tant dans les thirties. 

L’origine de cette série revient à Harry « Pop » Sherman qui a su convaincre la Paramount de lancer ce personnage de l’ouest américain.
La Paramount achète les droits du roman écrit par Clarence E. Mulford et une scénariste, Doris Schroeder,  est  engagée pour en faire une adaptation qui figurera probablement comme la meilleure de la série. 
Elle signera les six prochains Hoppy puis fera l’erreur d’abandonner la Paramount pour signer quelques scénarios ou adaptations de moindre qualité. Néanmoins, elle reviendra en 1947 pour Hoppy avec Fool’s Gold.  Pour ce premier Hoppy, c’est Harrison Jacobs qui s’occupe des dialogues.
Howard Bretherton est  un vieux de la vieille de la série B qui a tourné une centaine de films, souvent d’action et près de la moitié de son œuvre seront des Westerns B d’excellentes factures. 
Il a commencé en tant que director au début des années 20 avec un excellent Rintintin, mais c’est à partir de 1935, avec Hop-a-long Cassidy, qu’il va se spécialiser dans le Western B. 
Il fera tourné Reb Russell, Whip Wilson, Jimmy Wakely, Rod Cameron à ses débuts, Johnny Mack Brown,  Allan Rocky Lane, Don Red Barry, Bill Elliott, Bob Steele, Tim McCoy, Buck Jones, Charles Starrett,  Richard Arlen, mais c’est avant tout avec William Boyd qu’il va tourner le plus, vient ensuite Bill Elliott.
William Boyd qui était déjà un grand acteur dans les années 20 et avait tourné entre autre  sous l’autorité du  grand Cecil B. de Mille a la chance d’être choisi pour incarner Hoppy alors qu’au départ c’était  James Gleason qui devait obtenir le rôle.
Ce western flamboyant raconte l’histoire de deux ranchmen qui s’accusent mutuellement de vols de bétails alors que l’auteur des faits n’est autre que l’un des contremaîtres. 
William Boyd, aidé de son copain James Ellison vont faire la lumière sur cette ténébreuse affaire.
Ce type d’histoire a été évoqué des centaines de fois dans les Novels, mais selon les talents de ses auteurs, cette trame fonctionne toujours. 
Wayne Overholser en a peut-être été un de ses spécialistes et en a certainement été le plus brillant. Nous citerons également Paul Evan Lehman, grand spécialiste également des histoires dont la toile de fond reste la plupart du temps la vie au ranch. 
En ce qui concerne notre film c’est Clarence E. Mulford qui écrit le livre dont Harry Sherman a acheté les droits.
L’intérêt dans le traitement de ce roman, c’est la force et la présence cocasse des personnages qui aident continuellement le héros. 
Tout de noir vêtu, monté sur un superbe cheval blanc orné de brides à conchas, il a une allure extraordinaire et unique à la fois. Au premier coup d’œil, sur une photo, une affiche ou dans ses films, on reconnait la silhouette caractéristique de William Hoppy Boyd qui de plus, malgré son jeune âge, a les cheveux gris. Il dispose d’un beau visage aux yeux clairs et reste un cowboy justicier très calme, réfléchi, contrairement aux héros de la selle des westerns B qui sont nerveux, bouillant et impulsifs, mais nous ne nous en plaindrons pas. Chacun a son style, et Hoppy a le sien.
Johnny, le sidekick de Hoppy, c’est James Ellison, un excellent acteur qui travaillait pour la Warner Bros avant de venir incarner ce savoureux personnage aux côtés de William Boyd. 
Le tandem tournera huit fois pour la série puis sera soudoyé par Cecil B DeMille qui l’invite à incarner Buffalo Bill dans Une aventure de Buffalo Bill. Hélas, la coopération entre l’acteur et le célèbre réalisateur s’avère odieuse et DeMille s’attachera à tenter de briser la carrière de James qui, pourtant continuera de tourner dans divers films. 
IL tournera le dos au western jusque dans les années 50 où il interprétera Shamrock aux côtés de Russell Hayden (son remplaçant dans le rôle de Johnny de la série des Hoppy !) pour 11 films.
Dans ce premier Hoppy, nous retrouvons pour notre plus grand plaisir, George ‘Gabby’ Hayes dans le rôle de oncle Ben, toujours aussi savoureux et drôle.
Toutefois, il ne finira pas le film, tué dans le dos par le contremaitre. 
Cette scène est sans aucun doute la plus belle de tout le film. Agonisant, George appelle Hoppy à son secours. Hélas, celui-ci arrivera trop. Il retrouvera son corps dans le désert, près de rochers magnifiques (tourné dans les Alabama Hills). Fortement ébranlé, Hoppy l’étreint dans ses bras tout en regardant derrière l’horizon. Scène intense et émouvante tournée avec une grande sensibilité par M. Howard Bretherton.
Nous rencontrons des seconds rôles qui sont tous pris en considération. Chacun a sa place et a son intérêt. Le travail du scénariste se montre d’une force extraordinaire. Ainsi, Charles Middleton, grand méchant du cinéma (on se souviendra à jamais de sa prestation de Mystery Ranch avec George O’Brien) interprète le ranchman qui a la chance d’avoir sous ses ordres Hoppy. 
Sa présence apporte beaucoup au film, nous croyons vraiment à son personnage, tout comme le ranchman opposé : Robert Warwick.  
Parmi les bandits, vous reconnaitrez Ted Adams à peine reconnaissable tant son costume a été finement étudié avant qu’il ne l’endosse. Dans le rôle effacé du Doc, nous identifions un grand westerner du muet Franklyn Farnum et John Merton non crédité au générique.
Les cascades, nombreuses et souvent dangereuses sont assurés par un autre grand westerner du muet, Cliff Lyons, qui n’a pas survécu au parlant en tant qu’acteur, mais qui est devenu rapidement au début des thirties un des plus grands cascadeurs d’Hollywood avec Yakima Canutt. Il a beaucoup collaboré avec John Ford.
Hop-a-long Cassidy est un des meilleurs Westerns des années trente et préfigure  la meilleure série jamais réalisée par Hollywood. 

Je reste bouche bée Didier SUPER.
L'avis de Lou, le 20 septembre 2016
Revu ce film ce soir, quelle déception ! Je dois faire une overdose de Hoppy, je commence à le trouver pédant et du coup son personnage devient pénible. On ne compte d'ailleurs pas le nombre d'épisodes où Hoppy se montre manipulateur et moralisateur.
Johnny Nelson alias Ellison est ici une tête à claques très grande gueule. Il se permet de molester une jeune femme que le contremaitre de son ranch vient défendre. Qui se mêle de cette histoire sans raison ? Je vous le donne en mille, notre brave Hoppy ! OK par la suite on découvrira que le contremaitre est en fait un bandit, mais à ce stade du film rien n'indique que cet homme est malhonnête et donc on ne comprend pas très bien l'intervention de notre héros qui se montre de plus assez brutal avec sa monture.
Par la suite Johnny se permettra de frapper Hoppy qui retiendra son bras afin de ne pas saisir son revolver. On croit comprendre que Hoppy se reconnait dans le jeune whippersnapper qui lui fait face. Toutefois Nelson aurait mérité une bonne dérouillée dans cette histoire.
Je retiens surtout les performances de Frank McGlynn Jr. qui mourra peu de temps plus tard à l'âge de 34 ans et de Robert Warwick, toujours maitre de la situation !
Franchement je me suis demandé ce soir ce qui avait pu motiver une suite des aventures de Hoppy après cette première aventure. Heureusement la série comporte en effet de très bons épisodes mais ce premier opus n'est pas le fleuron de la série à mes yeux, loin s'en faut !

dimanche 21 juillet 2013

Lobby Cards U S -1945

Après les lobbies des muets, des serials et Françaises, voici pour finir les lobbies Américaines des parlants, classées par année.                             
                                                                          1945

Along Came Jones - Le grand Bill 1945

Beyond the Pecos -V endetta au Far West 1945

Corpus Christi Bandits 1945
 

Daltons Ride Again (the) - 4 bandits de Coffeyville 1945

Don't Fence me in 1945
 
Fighting Bill Carson 1945

Flame of Barbary Coast - La belle de San Francisco 1945


Frisco Sal 1945

Navajo Trail  (The) 1945 - Le Voleur de Chevaux
                                                                           
Northwest Trail 1945

Renegades of the Rio Grande 1945

Rhythm Round-Up  1945

Sing me a Song of Texas 1945

Texas Panhandle 1945

Thunderhead Son of Flicka - Thunderhead fils de Flicka 1945

Wanderer of the Wasteland 1945

A SUIVRE


samedi 20 juillet 2013

Bad Buck of Santa Ynez - William S. Hart - 1915


J'ignore le titre français de ce film ...
Le voici grace:
En France, sortie Parisienne en Janvier 1916 sous le titre "La terreur des montagnes".Vince
William S. Hart...Bad Buck Peters
Fanny Midgley...Mary Gail
Thelma Salter...Honey
Bob Kortman
20 minutes

Buck Peters n'est pas un mauvais bougre dans le fond : c'est juste qu'il aime narguer le shérif. Un jour il le désarme et le force à boire un verre en sa compagnie au Red Dog Saloon. Vexé et mauvais joueur, le shérif lui rend la pareille, le désarme et tente de le pendre. Buck s'enfuit et alors qu'il traverse un canyon, tombe sur un chariot de colons vers lequel une femme et sa fille pleurent leurs mari/père qui vient de décéder de la fièvre. A bout de force, la mère demande à Buck de l'aider à enterrer son mari mais celui-ci refuse abruptement, craignant d'être rattrapé par le shérif et sa bande. Mais finalement touché par la douceur de la petite Honey, il accepte de les aider puis finit par les emmener dans sa cabane où il les installe en leur disant de faire comme chez elles. En partant il précise qu'elles auront certainement des visiteurs qu'il ne peut attendre. Après le passage du shérif, il reprend la direction de sa cabane et trouve le bonnet de la petite fille ainsi qu'un serpent venimeux qu'il tue aussitôt. Comprenant qu'un drame avait eu lieu, il se rue à la cabane où il découvre la mère affolée devant la petite Honey. Dans l'urgence il suce la plaie et place un garrot de fortune. Puis, risquant le tout pour le tout, il se rue au village pour chercher le docteur ..
20 minutes, ce n'est pas long ... et comme je ne me lasse jamais des films de/avec Bill Hart ...

Le film que l'on trouve sur le DVD édité chez Oldies n'est pas trop mal : image un peu floue, cadrages quelque peu coupés, musique assez standard, mais le tout passe bien ! (et à défaut d'autre chose, c'est mieux que rien !)

Plus de détails sur ma page
http://films-muets.blogspot.com/2011/04/bad-buck-of-santa-ynes-william-d-hart.html

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