Let's Remember:

Let's Remember:
Ken Maynard 1895-1973 The Land Beyond the Law d’Harry Joe Brown 1927. https://western-mood.blogspot.com/search/label/Ken%20Maynard

Rechercher dans ce blog

jeudi 21 mars 2013

Randolph Scott gentleman from Virginia



                                    Randolph Scott gentleman from Virginia

Pour ceux que cela peut intéresser voici le livre paru en 1987aux éditions « WILD RIVER » ; 300 pages glacées au format 22x30 cm

Le tout en noir et blanc avec sa filmographie complète et de nombreuses photos, l’inconvénient : une lecture anglaise !
Un aperçu des photos intérieures





mercredi 20 mars 2013

Wild horse range – Raymond K. Johnson - 1938

Jack Randall est en fin de carrière lorsqu’il tourne Wild Horse Range. 
Il débute en 1933, mais c’est en 1936 que Robert N. Bradbury lui procure son premier rôle dans le western avec Riders  of the Dawn. Bob Livingston n’est pas étranger dans son ascension, car celui-ci est au sommet de sa gloire avec la série western des trois mousquetaires et promouvoir son frère n’a rien de difficile…  
Deux autres « Bradbury » s’ensuivent  puis c’est un déclin rapide qui attend Jack. 
Ce dernier obtient un contrat à   la Conn Pictures Productions  pour laquelle il  commence  à tourner une série de Westerns de très mauvaise facture. Tout d’abord, l’abominable et prolifique réalisateur J.P. McGowan l’emploie pour Where the West begins en 1938, Alan James qui nous a signé d’excellents Ken Maynard nous filme Land of the fighting Men  que nous n’avons pas vu. Par contre nous avons visionné Guinsmoke Trail réalisé par Sam Newfield qui nous offre là l’un de ses plus mauvais Western.
Quelque peu inquiet de la médiocre qualité de ces films, Jack Randall part à la Monogram pour  tenir le premier rôle de Man’s Country de Robert Hill. 17 autres Westerns B ; voir Z, l’attendent jusqu’en  1940. Le cowboy au visage romantique qui ne restera pas à la mémoire des têtes d’affiche du western meurt à l’âge de 39 ans.
Wild Horse Range compte parmi les films tournés par notre acteur à la Monogram en 1940. Le nom du metteur en scène crédité au générique est Raymond K. Johnson, un pseudonyme du réalisateur célèbre pour ses westerns Z à la triste réputation.
Le début du film s’avère intéressant car le scénariste, Carl Krusada, suit fidèlement l’histoire du roman dont le film est tiré, mais ses efforts s’estompent et le récit s’enlise au bout d’un quart d’heure.
 Jack Randall et son ami Frank Yaconelli (qui nous offre une excellente chanson – seule réussite du film), tous deux marchants de chevaux sauvages sont sur le point de la faillite car l’un de leur concurrent domine le marché en vendant de superbes juments à des prix défiant toute concurrence. Curieux, les deux hommes font une enquête et découvrent qu’ils sont victimes d’un véritable trafic à l’insu d’une pauvre fermière… 
Tous les acteurs sont des « vieux de la vieille » du western que nous connaissons bien, Tom London, George Chesebro, Charles King Jr., Forrest Taylor et Steve Clark, mais leurs plus belles années, comme celles du Western B,  sont derrière…
  • Le générique. 
  • Une écriture de notre ami Didier.
     

mardi 19 mars 2013

Lightnin' Jack - Horace B. Carpenter ? - 1925

Jack Perrin, Josephine Hill, Horace Carpenter, Lew Meehan

70 minutes


Accusé à tort d'un crime, Lightnin' est poursuivi par monts et par vaux par un shérif et ses hommes. Grâce à la vitesse de son cheval Satan il les sème facilement et passe la frontière de l'Arizona où il surprend Ned Knowles faisant une cours pressante à Mildred Manning (Hill) la fille d'un rancher de la région. Mildred n'est pas amoureuse de Ned et se montre ravie par l'arrivée de Lightnin' qui calme le pauvre gars en lui tirant méchamment le nez. Plus tard Lightnin' postule au ranch Manning où il ne trouve une place qu'après avoir rossé Bud Knowles, le contremaître et frère de Ned. Bud et Ned complotent chacun à leur manière pour mettre la main sur le ranch, Ned en courtisant la fille, Bud en dérobant du bétail tout en espérant épouser lui aussi Mildred. Celle-ci tombe sous le charme de Lightnin' et quand le contremaître enfin viré engage son père à parier leurs ranchs respectifs sur une course de chevaux locale, Mildred pousse son père à parier sur Satan. Mais les frères Knowles sont bien décidé à avoir le ranch, il leur faut donc écarter Lightnin' pour l'empêcher de concourir ...



Jack Perrin monte dans ce film un magnifique cheval noir. L'action débute par une course poursuite dans la montagne et on ne s'ennuie pas une seconde. Le scénario est en fait très simple : un homme innocent qui fuit la justice tombe amoureux de la fille d'un ranch qui lui obtient une place de contremaitre ce qui rend jaloux l'ex-contremaitre qui sait qu'il est recherché et va utiliser son savoir pour parvenir à ses fins. Je vous donne en mille le twist final ? Le vrai coupable a entre temps avoué le crime et le shérif cherche Lightnin' pour lui annoncer la bonne nouvelle !
Je vous l'accorde, ce n'est pas très intellectuel, mais ça n'enlève rien au plaisir qu'on peut avoir à regarder le gentil et souriant Jack Perrin galoper à toute vitesse sur son beau cheval. Bien mieux qu'une opération chirurgicale pour retrouver sa jeunesse !
Pas de réalisateur indiqué sur IMDB, ni dans A Guide of the Silent Westerns de Larrry Langman, mais ne serait-ce pas quand même Horace B. Carpenter aux commandes ? Ce ne serait pas la première fois qu'on le verrait devant et derrière la caméra ...
Quelques photos puisque je n'ai rien trouvé sur la toile pour illustrer ce sujet.




lundi 18 mars 2013

Winners of the Wilderness - W. S. Van Dyke - 1927



Tim McCoy .
Col. Sir Dennis O'Hara (as Colonel Tim McCoy)

Joan Crawford ...
René Contrecoeur

Edward Connelly ...
Gen. Contrecoeur

Roy D'Arcy ...
Capt. Dumas

Louise Lorraine ...
Mimi

Edward Hearn ...
Gen. George Washington

Tom O'Brien ...
Timothy

Will Walling ...
Gen. Edward Braddock (as Will R. Walling)

Frank Currier ...
Gov. de Vaudreuil

Lionel Belmore ...
Gov. Dinwiddie of Virginia

Chief John Big Tree ...
Chief Pontiac
68 minutes

 "Winners of the wilderness" a eu pour titre en france "La croisée des races".Les Niçois ont pu le voir en Mai 1928. J'ai la trace de Mars 1929 pour Paris, mais je pense qu'il est sorti 1 ou 2 mois avant Nice, comme il était d'usage à l'époque. Vince


En 1755, durant la guerre des 7 ans (Guerre de la Conquête), les français menés par le Général Contrecoeur mettent au point leur plan d'attaque mais sont espionnés par Denis O'Hara (McCoy) un Colonel de l'armée anglaise. Surpris par les troupes, il fuit à l'étage et fait la connaissance de la belle Renée (Crawford), la fille du Général. C'est l'amour at first sight, Denis parvient à s'échapper mais revient sous son vrai visage pour revoir la belle. Celle-ci le reconnait grâce à la chevalière portée à son doigt. Surpris par le Capitaine Dumas (D'Arcy) il ne doit son salut qu'à la présence d'esprit de Renée.
Rejoignant les troupes du Général Braddock, il se met en route pour Fort Duquesne et les hommes tombent sous les coups des français qui les massacrent, à l'aide d'indiens menés par leur Chef Pontiac et de miliciens canadiens. Denis s'en sort miraculeusement et vêt l'habit d'un français pour se rendre à Fort Duquesne ...

Voir la vraie histoire en gros de la bataille de la Bataille_de_la_Monongahela
pour davantage de détails et des gravures émouvantes : http://www.britishbattles.com/braddock.htm

Ce film mêle allégrement des faits historiques et de la romance. Les moyens déployés sont immenses, les troupes, les costumes et l'armement sont rendus de belle façon, je suis toujours épatée de penser qu'un réalisateur se lance dans une entreprise aussi colossale en terme de figurants, de costumes et de décors...

L'un des premiers films de Joan Crawford et le troisième du Colonel Tim McCoy. Il s'y montre encore jeune alors qu'il a déjà 36 ans et une vie déjà bien remplie (militaire, agent territorial Indien grâce à ses connaissances des indiens, etc) 
On découvre quand même un pan de cette fameuse bataille menée par le Général Braddock qui ne manque pas d'esprit car alors qu'il est sur le point de trépasser  We shall know how to fight them next time.” furent ses derniers mots semble-t-il ... (par contre l'acteur qui l'incarne ne sait visiblement pas monter à cheval car il est incapable de rendre la main à sa monture qui lutte constamment contre le mors - j'ai cru voir une bride spéciale ? - c'est déprimant).
Tom McCoy se démène à la manière d'un Douglas Fairbanks bondissant, le film termine par une évasion en saut à la perche, des acrobaties à cheval (poste hongroise) impressionnantes. 
Joan Craword est fort jolie, de même sa maid Mimi jouée par Louise Lorraine. 
Roy D'Arcy compose le villain Dumas de belle manière. Je suis sûre qu'il a inspiré de nombreux dessinateurs de BD ou des futurs réalisateurs car il représente une certaine image classique du méchant vivant entre 1700 - 1900. 

dimanche 17 mars 2013

Lobby Cards U S -1940


Après les lobbies des muets, des serials et Françaises, voici pour finir les lobbies Américaines des parlants, classées par année.
                                                                          -1940-
Billy The kid in Texas 1940

Billy The Kid's Gun Justice 1940

Bullets for Rustlers 1940

Cheyenne Kid (the) 1940

Colorado - 1940

Fargo kid (the) 1940

Kid from Santa Fe (the) 1940
Kit Carson 1940
Land of Six Guns 1940
Lightning Strikes West 1940
Light of Western Stars (The) 1940
Murder on the Yukon 1940

North West Mounted Police - Les Tuniques écarlates 1940

Pinto Canyon 1940
Pioneer Days 1940

Pony Post 1940

Rancho Grande 1940
Return of Frank James (the) - Le retour de F. J. 1940

Riders From nowhere 1940

Rocky Mountain Rangers 1940

Roll Wagons Roll 1940

Stage to Chino 1940
Triple Justice 1940

Twenty Mule Team 1940
Under Colorado skies - Les gangsters du Texas 1940

Virginia City - La caravane heroique 1940

Wagon Train 1940

Wagons Westward 1940
West of Pinto Basin 1940

Westerner (the) - Le cavalier du désert 1940

When the Dalton Rode 1940

Wild Horse Range 1940

wild Horse Valley - Le pirate 1940
   -A SUIVRE-

Messages les plus consultés