Lawless Code - Oliver Drake - 1949

Oliver  fera jouer à Jimmy son propre rôle dans une étonnante alliance qui les verra dans une association de 13 westerns.

L’année 1949 sera cruciale pour Jimmy qui terminera en beauté sa carrière en tant que vedette principale avec pas moins de 4 westerns.

Jimmy et son Sidekick Cannonball se rendent dans la ville de Red Rock avec la mission de consulter la ‘Land and Development Company’ pour des offres sur les homesteads ainsi que pour venir en aide à Curley Blake.

Ce dernier est impliqué dans un combat contre des malfrats qui  ont à leur tête un juge Harmon Steele qui a l’idée de construire un barrage au-dessus de Green Valley, terre qui appartient à Jed Gordon, oncle de Curley Blake qui refuse de vendre.
Harmon Steele et son associé Donald Martin vont piéger Curley Blake qui a un sale vice,  le jeu de poker ? Au cours d’une partie 2 sbires Carter et Tom Blaine vont l’accuser de tricherie ce qui  va provoquer une bagarre avec l’aide de Jimmy.

A la suite de cela Jed Gordon va renier son neveu et décide d’accepter l’offre de Harmon Steele.

Peu après  Jed va apercevoir Blaine et Carter qui se rendent dans le bureau de Harmon Steele, Jed va les suivre pour les surprendre empochant leur salaire du frame-up contre Curley.

Pris au piège par Jed qui veut le dénoncer au sheriff,  Steele va l’abattre dans le dos avec l’arme de Blaine et va jeter la suspicion sur Curley Blake.
Poursuivi par le shériff, Curley va réussir à se planquer chez Jimmy et Cannonball pour un certain temps.
Contre la volonté de Jimmy, Curley va quitter sa cachette pour se rendre en ville pour annoncer à Rita Caldwell son innocence.
Il va falloir qu’il prouve son innocence, Jimmy et lui vont monter une embuscade pour poursuivre Harmon Steele et le faire tomber dans le piège…..
Nous aurons droit à une bagarre bien réglée entre Jimmy et Steele dans un chariot é vive allure.

Coté chansons nous aurons une seule interprétation de Jimmy le traditionnel:

"Trail to Mexico"

Coté cascades:

Richard Farnsworth

Coté tournage:

§ Santa Clarita, California, USA

§ Walker Ranch - 19152 Placerita Canyon Road, Newhall, California, USA

Une durée vidéo de   minutes en VO dans une copie très propre.

Le générique:

Jimmy Wakely ... Jimmy Wakely

Dub Taylor ... Cannonball

Ellen Hall ... Rita Caldwell

Tristram Coffin ... Judge Harmon Steele

Riley Hill ... Curley Blake

Kenne Duncan ... Tom Blaine - Henchman

Myron Healey ... Donald Martin

Terry Frost ... Carter - Henchman

Beatrice Maude ... Mrs. Caldwell

Steve Clark ... Jed Gordon

Bud Osborne ... Sheriff

Lumberjack -Lesley Selander - 1944

• Nous somme à la 52e aventure.
  

Quand deux écrivains comme Barry Shipman et  Norman Houston s’associent pour adapter un roman de Clarence E. Mulford, nous pouvons nous attendre à une histoire exceptionnelle.

Quand nous lisons le nom du réalisateur à la tête de Lumberjack, nous savons d’avance que le film sera réussi.

Quand nous savons qu’Harry Sherman lance ses billets de banque pour que son équipe dispose de ce qu’il lui faut pour tourner, on commence à s’ennuyer de voir les premières images.

Quand nous apprenons en lisant le générique que le film a été tourné dans les High Sierras et que la photographie est signée Russell Harlan, ca devient insupportable.

Enfin, quand nous savons que nous allons retrouver Hoppy, plus personne ne peut vous déranger : que ce soit le téléphone, les amis, les parents, le facteur qui vous amène votre lot d’Oldies, le percepteur… Qu’ils aillent tous au diable. Le Western commence !

Lumberjack raconte l’histoire d’une belle jeune fille  qui perd son fiancé et décide vendre ses terres à un escroc du nom de Douglas Dumbrille, assisté de Morris Ankrum.

Hoppy tente de l’en dissuader car tous les gens qui vivent dans la vallée risquent de tout perdre. De plus sa propriété détient des zones montagneuses très boisées pouvant être exploitées.

Les adaptateurs vous peignent des personnages ruraux d’une nature profonde. Ils sont de  fidèles, travailleurs et l’on peut compter sur eux.

Bien que le sujet soit sérieux, un ton de comédie est utilisé à bon escient et traité par touches. Andy Clyde représente en partie l’humour du film, contrebalançant le drame du scénario et équilibre cette narration cinématographique.

Lesley Selander est parfaitement à l’aise et semble nous livrer des images extraordinaires sans apporter de grands efforts.  Il est devenu un routier de l’excellence. De façon incroyable, il a exclu tout affrontement à l’arme à feu. Dans Lumberjack, c’est à coups de poings que l’on se bat. Très bonne idée car toutes les bagarres sont superbement dirigées, que ce soit à deux personnages ou en foule.

Vous verrez comment les deux clans vont s’opposer dans les hauteurs des High Sierras et comment Hoppy viendra à bout de Douglas Dumbrille en livrant un combat périlleux en haut d’un barrage constitué de rondins tandis que la mèche de la dynamite se consume…

Quel grand cinéma ! Joe Kane nous tournera un film similaire intitulé Timberjack avec Sterling Hayden, mais je dois avouer que ce Hoppy est supérieur. Pourtant, bon Dieu, j’adore Joe Kane !  

•  Par didier toujours aussi confortable dans sa stagcoach.