May Et Chance - Les Journaux De June Wolf Hadley

May Et Chance - Les Journaux De June Wolf Hadley
Voici une lecture western à lire est à ranger dans votre bibliothèque. Un roman de Jim Fergus paru aux éditions ‘Actes sud’ le 03/11/2022 avec 310 pages dans un format broché de 22 x 14 cm. Le résumé : L'incroyable destin de May Dodd, l'héroïne de la trilogie Mille femmes blanches. 1875. Du fait de son mode de vie anticonformiste, May Dodd, jeune femme de la bourgeoisie de Chicago, est séparée de ses enfants avant d'être enfermée par sa famille dans un asile. Sa seule façon de s'en sortir : rejoindre un convoi de femmes blanches destinées à épouser des guerriers cheyennes. Devenue l'épouse du chef Little Wolf, May prend fait et cause pour les Indiens face aux traîtrises du gouvernement. 1877. May quitte le camp des Cheyennes pour Chicago, où elle espère retrouver ses enfants…

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samedi 1 septembre 2012

Les lobby cards sur les serials


Dans les serials nous avons déjà : une liste de titres, une partie de sujets et ils nous manquent plus que les lobbys cards, en voici une bonne partie que je compléterai à l’occasion....

A-B
Adventures of Frank and Jesse James (the) 1948

The Battling with Buffalo Bill-Buffalo Bill 1931

Black Arrow 1944

Blazing the Overland Trail 1956


-C-D-
Canadian Mounties V. S. Atomic invaders 1953

Clancy of the Mounted 1933


Custer's Last Stand 1936

Danger of the Canadian Mounted 1948

Daredevils of the West 1943

Deadwood Dick-Dick, le Zorro de Deadwood 1940

Desperadoes of the West 1950

Devil Horse 1932

Don Daredevil Rides Again 1951

       
-E-F-





Fighting With Kit Carson 1933

Flaming Frontiers 1938 

                     


-G-H 
Ghost of Zorro - Le fantome de Zorro 1949

Gordon of Ghost City 1933

Great Adventures of Wild Bill Hickok (the) 1938

Gunfighters of the Northwest 1954

-I-J-
Indians Are Coming (the) 1930 

James Brothers of Missouri 1949

Jesse James Rides Again 1947

-K-L-
King of the Mounties 1942

king of the Royal Mounted 1940

King of the Texas Rangers 1941

Last Frontier (the) 1932

last of the Mohicans 1932

Lone Defender  1930

Lone Ranger (the) 1938

Lone Ranger Rides Again - 1939
-M-N-

Man With the Steel Whip-1954

Miracle Rider(the) - Le cavalier miracle-1935

Mystery Mountain - 1934

The Mystery Trooper akaTrail of the Royal Mounted - 1931

-O-P-

Oregon Trail - 1939

Overland Mail - 1942

Painted Stallion (the) - 1937



Perils of the Royal Mounted-La Police Montée au combat 1942

Perils of the Wilderness-1956

Phantom Empire-1935

Phantom of the West-1931

Phantom Rider (the) 1936

Phantom Rider (the) 1946

-Q-R-
Raiders of the Ghost City-1944

Red Rider (the)-1934

Riders of Death Valley-1941

Riding With Buffalo Bill-1954

Roar of the Iron Horse-1951

Roaring West-1935

Royal Mounted Rides Again-1945

-S-T-
Scarlet Horseman-1946

Son of Geronimo-1952

Son of Zorro-1947

Tex Granger-1948

  -U-Z-
Valley of Vanishing Men-La vallée des hommes perdus-1942

The Vigilantes Are Coming-1936

White Eagle-1941

Wild West Days-1937

Winners of the West-1940

Zorro's Black Whip - Zorro le vengeur masqué-1944

Zorro's Fighting Legion - Zorro et ses légionnaires-1939


jeudi 30 août 2012

Where the North Holds Sway - Bennett Cohen - 1927





Jack Perrin... Rance Raine

Pauline Curley... Gambler's wife

Buzz Barton
(as Billy Lamoreaux)

Lew Meehan... Jules Landeau

Starlight the Horse... Starlight, Rance's Horse


54 minutes
Réalisateur : Bennett Cohen sous le nom de Ben Cohn

Au poste des Royal Northwest Mounted Police (RNWMP) de Chinook Flats Rance Raine (Perrin) intrigue beaucoup ses collègues : il a construit une cabane mais personne ne peut jeter de coup d'oeil à l'intérieur. Appelé auprès de son chef, il lui est remis une lettre qui le réjouit : en effet son frère lui annonce son arrivée prochaine en tant que docteur car il vient de terminer ses études. 
Heureux d'apprendre cette nouvelle, Rance fait visiter la maisonnette qu'il a construit comme cabinet de consultation pour son frère. Il appose une pancarte sur la maison portant son nom et son statut.
Mais non loin de là, au terminus de la voie de chemin de fer de Caribou Junction, un couple en provenance des Etats Unis débarque. Jules Landeau (Meehan) et sa femme (Curley) demandent une chambre au saloon hôtel local et Landeau indique ne pas avoir les moyens de la payer. Voyant le joli minois de Madame Landeau, le tenancier suggère qu'elle danse pour les clients mais la pauvre femme est craintive et timide. Son mari la menace et la force à revêtir un robe pailletée. 
Entre temps le frère de Rance, Harvey (Hal Waters) se rend à l'hôtel histoire de se rafraichir avant de poursuivre sa route. En se passant devant la chambre 14 il perçoit des pleurs et frappe avant d'entrer. La jeune femme lui raconte ses mésaventures. Chevaleresque Harvey offre ses services mais le mari les surprend et abat froidement le jeune homme. Le couple prend la fuite vers le Nord. Rance est mis au courant de l'assassinat de son frère :  Fou de douleur il brûle la cabane et donne sa démission, jurant de le venger. Il est suivi par Red (Barton) un petit orphelin recueilli par la police montée et de son chien Rex.

Plus au Nord à Timber Wolf son cheval fait un écart et il chute méchamment. Starlight va chercher de l'aide et ramène Madame Landeau qui se trouve seule dans une cabane des environs pendant que son mari joue au poker. Soigné, Rance retrouve ses esprits et surprend Landeau qui intime l'ordre à sa femme de faire ses bagages car il vient d'apprendre qu'un mountie ayant donné sa démission est sur leur piste ...

Encore un western (!) et surtout un film très étonnant. L'action est constante sans excès et surtout l'atmosphère est très particulière. On a de nouveau l'association homme, enfant, cheval, chien, et ce quatuor est attachant. 
Sur certains points, le scénario n'est peut-être pas très explicite dans le sens qu'on se demande comment diable cette pauvre femme a pu épouser le terrible Landeau, et aussi comment se fait-il qu'alors en fuite et sans le sou, le couple puisse habiter cette grande cabane ? Bien sûr on peut inventer des réponses assez facilement et donc ces questions n'empêchent en aucun cas de passer un excellent moment. D'autant plus que d'un autre côté les circonstances convergent très logiquement même si le final est complétement ahurissant.
Starlight se montre très habile dans ce film, il va chercher de l'aide, frappe aux portes, surveille son maitre, résiste au bandit, etc.
Une séquence étonnante est la visite de la cabane construite pour le frère devenu docteur. On la trouve meublée d'une chaise de consultation, de panneaux instructifs et interactifs géants sur le corps humain ...
La séquence finale vaut à elle seule le détour par son côté totalement amoral. Dans une ambiance très noire et avec un accompagnement musical qui procure une note d'angoisse, Rance joue avec son couteau et fait monter la pression après avoir piégé Landeau en tissant une toile comme une araignée. Landeau commence à comprendre que le type qui se trouve en face de lui l'a manipulé. C'est l'apogée du film avec une ambiance à la Hitchcock avec un vrai soupçon d'horreur. Rarement on a l'occasion de voir autant de cruauté dans un western de cette époque (Il semble que Landeau soit dépecé comme un quartier de boeuf !)
Pour la morale on peut repasser, Rance manque être lynché mais s'en sort bien sûr sans problème (visiblement sans traumatisme psychologique alors que franchement je pense qu'il mériterait d'être interné ! La vengeance passe encore, mais la manière dont il se venge est particulièrement odieuse ... Le comble est que personne ne semble trouver son action excessive puisqu'il est réengagé au sein du corps des Mounties !).  
Le petit côté bien propre et gentil de Jack Perrin et ses grands yeux bordés de longs cils donne un côté particulièrement angoissant, à tel point que l'affreux Landeau/Meehan fait même pitié. 

On trouve ce film étonnant chez Grapevine.

mercredi 29 août 2012

Badlands of Dakota - Alfred E. Green - 1941

Harold Shumate atteint les sommets du ridicule avec cette histoire invraisemblable produite par l’Universal qui y avait consacré un budget important.
Avec la pléiade d’acteurs qui édulcorent le générique, nous  ne pouvons que nous précipiter pour voir ce Western alléchant. Quelle déception.  Les acteurs, aussi bons soient-ils, ne peuvent faire grand-chose quand ils doivent interpréter des personnages historiques célèbres qui ne sont en rien respectés par M. Harold Shumate, inspiré sans nul doute possible par le  Gin ou encore une drogue quelconque. Robert Stack, Ann Rutherford, Richard Dix, Broderick Crawford pour les principaux acteurs et Andy Devine, Lon Chaney Jr, Charles King. jr, Fuzzy Knight (qui a perdu l’attelage de la diligence et conduit avec le frein !) figurent en deuxième plan.
En deux mots, l’histoire se déroule à Deadwood, dans le Dakota où l’on trouve Bill Hickock, Calamity Jane, le général Custer sur fond de drame sentimentale, teintée d’humour, de burlesque (qui n’a du faire rire que Harold Shumate et les attardés), ponctué de quelques bagarres à poings nus, d’échanges de coups de feu et d’une bataille rangée à la fin entre les habitants attaqués par les indiens dont les chefs sont deux blancs déguisés en chef indien qui ont utilisés les indiens à leur insu (seul Shumate pouvait imaginer une chose pareille).
Les deux blancs en questions sont Broderick Crawford, incarnant le frère de Robert Stack (qui a pris le cœur de fiancée) qui veut se faire le coffre de la banque !) et son complice Lon Chaney Jr,  interprétant Jack McCall (l’assassin de Bill Hickock) ! Même en essayant de regardant ce film au deuxième degré, nous n’adhérons pas.
Impensable qu’un réalisateur de talent tel qu’Alfred Green ait accepté de tourné cette ineptie ; incroyable également que l’Universal ait dépensé autant d’argent pour un résultat aussi pitoyable. Si de nombreux westerns B avaient disposé  de ce budget dans les thirties, plus d’un aurait accédé au niveau A.
En essayant de positivé sur ces 95 minutes, je ne vois qu’un seul intérêt à regarder Badlands of Dakota : Richard Dix dans le rôle de Wild Bill. Crédible, imposant, il vole sans efforts toutes les scènes à  ces acteurs cités.
Quant au beau Robert Stack, il est aussi expressif qu’une douzaine d’huitres et avait vraiment besoin de revoir son look. Il le reverra plus tard heureusement pour lui et pour nous.  
Nous remarquerons une très belle actrice, France Farmer,  incarnant Calimity Jane, bien que son apparence n’ait rien à voir avec le personnage. Elle avait déjà tourné sous la direction d’Alfred Green dans un western intitulé ‘Ride a crooked mile’ en 1938 qui possède une forte réputation aux États-Unis.
les vedettes:
Robert Stack/Jim Holliday
Ann Rutherford /Anne Grayson
Richard Dix/Wild Bill Hickok
Frances Farmer/Calamity Jane
Broderick Crawford/Bob Holliday
Hugh Herbert/Rocky Plummer
Andy Devine/Spearfish
Lon Chaney Jr./Jack McCall
Fuzzy Knight/Hurricane Harry
Addison Richards/Gen.George Custer


mardi 28 août 2012

The Vanishing Legion - B. Reeves Eason - 1931

Une pose pendant le tournage
Edward Hearn et Frankie Darro
 
Sur la toile nous avons :

Harry Carey ... 'Happy' Cardigan
Edwina Booth ... Caroline Hall
Rex the Wonder Horse ... Rex  
William Desmond ... Milesburg Sheriff
Frankie Darro ... Jimmie Williams
Philo McCullough ... Stevens
Yakima Canutt ... Yak  / Bill Peters
Joe Bonomo ... Stuffy
Tom Dugan ... Oil Co. Director Warren
Lafe McKee ... T.J. Hornbeck
Edward Hearn ... Jed Williams
Boris Karloff ... The Voice
 
Le gadget !.....
 
Une copie de chez Oldies propre.

Les titres des 12 chapitres en 220 minutes
1/ Voice from the Void
2/ Queen of the Night Riders
3/ The Invisible Enemy
4/ The Fatal Message
5/ The Trackless Trail
6/ The Radio Riddle
7/ The Crimson Cue
8/ Doorway of Disaster
9/ When Time Stood Still
10/ Riding the Whirlwind
11/ Capsule of Oblivion
12/ Hoofs of Horro
 
L’écurie Mascott Pictures a le vent en poupe en 1931 avec à sa tête le producteur Nat Levine qui va confier à B. Reeves (Ford Beebe n’est pas crédité au générique) le tournage qui sera  mis en boite en 18 jours.
Celui-ci va faire travailler  son vieil ami Yakima Canutt à qui il va confier les cascades et une participation dans 2 épisodes. 

 
Un serial contemporain très réussi orienté légèrement entre film noir et science fiction car le vilain ‘The Voice’ se sert des ondes d’une radio de poche pas plus grande qu’une main pour donner ses ordres. Une belle révolution technologique pour l’époque un vilain que nous ne verrons pas d’ailleurs....
B. Reeves va engager la grande vedette de l’époque Harry Carey et va lui mettre dans ses bras la belle Edwina Booth ainsi que le jeune Frankie Darro et comme monture le bel étalon ‘Rex, le roi des chevaux sauvages’, qui va un peu leur voler la vedette.
 
 
L’histoire commence par un combat de rivalité de 2 étalons sauvages sous les yeux  d’une bande de cowboys  qui essayent de  capturer  l’un deux.
Cet étalon noir Rex réussi à fuir vers le jeune Jimmie qui le ramène au ranch où il vit avec son père Jed.
Ce dernier se cache car  poursuivi pour meurtre et tente de prendre la fuite en voulant monter Rex qui se cabre et le blesse gravement avec ses sabots .Son fils voulant le sauver  l’emmène dans la ville pour le faire soigner mais il sera reconnu et Jimmie fera tous pour sauver son père.
Il réussira à lui faire prendre la fuite en le cachant dans un camion qui dans une descente  fera une embardée et Jimmie  pensera que son père a péri dans l’incendie du camion.
Helas ‘Happy’ Cardigan, chef d’un groupe de foreurs de puits de pétrole de la compagnie ‘Milesburg Oil Company’, poursuivant le camion  qui appartint à sa compagnie, réussira à sauver le jeune Jimmie et à  le prendre sous son aile…
Pendant ce temps Cardigan a de graves problèmes avec la bande surnommée ‘TheVanishing Legion’ dirigée par ‘The Voice’ donnant des instructions de sabotage concernant des camions qui transportent le pétrole afin de  faire retarder leur contrat et  prendre le pouvoir.

Edwina Booth/Harry Carey
Le directeur de la ‘Milesburg Oil Company’ T.J. Hornbeck va envoyer leur secrétaire Caroline Hall auprès de Cardigan afin d’informer la compagnie sur les agissements de la bande à ‘The voice’….notre trio ainsi que Rex vont se mettre à l’œuvre pour les démanteler.
Apres maintes Clifthangers de camions hors contrôle, débandades de chevaux, enlèvement de la belle, fuite de puits de pétrole et finir en beauté avec bagarres et chevauchés et enfin faire taire ‘The voice’

 
‘La Légion invisible’ est le titre Français, est ce sur  qu’il y a eu une sortie dans nos salles ?......je doute car aucun document pour ma part…mais découvert sur internet une affiche  Belge  le titre presque identique est comporte 2 époques ‘L’ennemi sans nom’ et ‘La voix mystérieuse’

Edwina menaçante face à Joe Bonomo et Philo McCullough

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