May Et Chance - Les Journaux De June Wolf Hadley

May Et Chance - Les Journaux De June Wolf Hadley
Voici une lecture western à lire est à ranger dans votre bibliothèque. Un roman de Jim Fergus paru aux éditions ‘Actes sud’ le 03/11/2022 avec 310 pages dans un format broché de 22 x 14 cm. Le résumé : L'incroyable destin de May Dodd, l'héroïne de la trilogie Mille femmes blanches. 1875. Du fait de son mode de vie anticonformiste, May Dodd, jeune femme de la bourgeoisie de Chicago, est séparée de ses enfants avant d'être enfermée par sa famille dans un asile. Sa seule façon de s'en sortir : rejoindre un convoi de femmes blanches destinées à épouser des guerriers cheyennes. Devenue l'épouse du chef Little Wolf, May prend fait et cause pour les Indiens face aux traîtrises du gouvernement. 1877. May quitte le camp des Cheyennes pour Chicago, où elle espère retrouver ses enfants…

Rechercher dans ce blog

Affichage des articles dont le libellé est 1921. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est 1921. Afficher tous les articles

vendredi 18 septembre 2020

Three Word Brand - Lambert Hillyer - 1921

Ben Trego (Hart) est attaqué par des indiens. Pour sauver ses deux fils jumeaux, il se fait sauter avec son chariot après les avoir éloigné. 
Bien des années plus tard, un de ses fils surnommé Three Word Brand (Hart) est copropriétaire d'un ranch avec George Barton (Bingham). 
Leur voisin immédiat manigance afin d'obtenir de gré ou de force (mais plutôt de force !) tous les droits sur l'eau de la région et les déposséder. Il ne manque que l'aval du gouverneur, qui n'est autre que le frère jumeau perdu de vue de Three Word Brand, le gouverneur nouvellement élu Paul Marsden (Hart encore) ... George fait venir sa sœur Ethel (Novak) de l'Est. 
Au premier coup d'œil, Ethel n'apprécie pas Three Word Brand, qui corrige un traitre à son arrivée ...
Un rythme lent pour ce film qui semble plus long que les autres, dans lequel William S. Hart compose trois personnages : le père et les deux fils jumeaux. Un film plaisant, soit, mais sans plus.
68 minutes
William S. Hart   ...Three Word Brand / Gov. Marsden / Ben Trego
Jane Novak         ...Ethel Barton
S.J. Bingham      ...George Barton
George C. Pearce    ...John Murray
J. Gordon Russell   ...Bull Yeates
Collette Forbes        ...Jean

jeudi 2 janvier 2020

The Show Down - William James Craft - 1921

Snapper Walton est un cowboy énergique qui ne ménage pas ses efforts pour faire la fête. Ainsi précédant ses copains il pénètre à cheval dans le saloon et se met en tête d'attraper quelques consommateurs au lasso pour leur offrir à boire.
L'ambiance est au beau jusqu'à ce que Gunnison décide de s'en prendre à Snapper. Gunnison a la garde d'une jeune orpheline, Betty, qu'il spolie sans vergogne en se faisant passer pour un brave homme aux yeux de la brave fille que Snapper considère comme sa petite fiancée.
Évidemment après s'être fait quelque peu rosser, Gunnison retourne à la maison où il fait croire qu'il s'est battu contre Snapper qui s'est montré insolant envers elle. Betty est bientôt persuadée que son fiancé n'est pas l'homme qu'elle croyait et l'évite.
Snapper tente bien de convaincre la jeune fille mais peine perdue, il finit par quitter les lieux.
Quelque temps plus tard Gunnison intercepte une missive adressée à Betty dans laquelle Snapper a annonce avoir découvert que Gunnison a dérobé 50'000 dollars et qu'il revient demander des comptes.
Aussitôt Gunnison poste ses hommes le long du chemin pour faire abattre Snapper avant qu'il ne puisse dévoiler la vérité....
Sympathique western de deux bobines, l'action est bien menée et on a plaisir à suivre cette histoire sans chichis. Art Acord est costaud et se montre plein de vie, son cheval Raven est un atout précieux dans sa vie et la petite Marcella Pershing parait tout jeune.
Les décors sont très authentiques, les chevaux empruntent de mauvaises pistes et dévalent des talus impressionnants.

18 minutes

Art Acord ... Snappy Walton

Marcella Pershing ... Betty Gray

Edward Burns ... Gunnison (as Ed Burns)

Jack Richardson ... Blackie

Raven the Horse ... Raven, Snappy's Horse

samedi 25 novembre 2017

The Stampede - Francis Ford - 1921



Vraie fille de l'Ouest, Tex vit avec son père Jim Henderson tout près de la vallée de Sonor. Celle ci va être ouverte aux colons très bientôt et les gens affluent de partout pour obtenir leur bout de terre.
Tex ne fait pas de chichi et ne s'encombre pas de colifichets. Pleine d'énergie elle est attirée par un veuf, Robert Wagner fraichement arrivé de la Nouvelle Angleterre mais celui-ci ne s'intéresse qu'à sa future terre. D'ailleurs ses chances pour l'obtenir son très bonnes car il possède Snowflake, un cheval gris spécialement qualifié pour la course et qui est groomé avec amour par Pancho, son entraineur.
Tex va rendre visite à Bob et à sa petite fille Mary à laquelle elle apporte une paire de pantalon, ce qui n'est pas au gout de Bob qui visiblement a son idée quant à l'aspect que devrait avoir une véritable lady. 
Sylvia, la cousine de Tex arrive alors tout droit de New York. A son arrivée à la gare, les hommes se retournent sur son passage. Sylvia attire tous les regards, en particulier celui de Steve Norton, le propriétaire du saloon et propriétaire de Night Hawk, le cheval avec lequel il compte bien s'emparer des plus belles terres à la stampede qui aura lieu le lendemain.
A la demande de Jim, Sylvia a apporté quelques accessoires féminins dont une robe à sa cousine.
Norton invite les deux jeunes femmes à une soirée dansante le soir même. Toutes deux apparaissent très féminines et Norton invite Sylvia à monter dans son antre au dessus du saloon pour lui montrer la vue sur la future course. Voyant que sa cousine ne revient pas, Tex grimpe les escaliers pour aller la chercher sous le regard goguenard de Steve.
Le lendemain la petite Mary est atteinte d'une grosse fièvre et, avant de courir chercher le docteur, son père confie Snowball à Pancho qui sera chargé de faire la course à sa place. Un homme de Norton vient alors annoncer à Pancho que le docteur est parti dans la direction opposée ce qui pousse le brave homme à partir à sa recherche de son côté. Du coup le menteur enferme le cheval dans l'écurie ce qui laisse les coudées franches à Norton et à son cheval.
Pendant ce temps Steve envoie un mot à Sylvia pour l'inviter à regarder la course depuis son bureau. Quelques minutes après la jeune femme reçoit un mot de Bob la priant de se rendre au chevet de sa petite fille. Visiblement elle ne s'intéresse pas à cet homme car elle jette le papier à terre et s'en va rejoindre Norton. Tex, qui a vu sa cousine recevoir les lettres, lit le mot et se précipite au chevet de Mary qu'elle soigne avec amour.
En ville Bob a trouvé le docteur et lui demande de se rendre auprès de sa fille au plus vite. Il croise le chemin de Jim venu casser la figure de Norton car il a trouvé lui aussi le billet roulé en boule ce qui l'a persuadé que sa fille file du mauvais coton. Les deux hommes foncent sur le saloon tandis que Tex, relayée par le docteur, tente de s'emparer de Snowball surveillé par l'homme de Norton. S'ensuit alors une belle bagarre ...
Un film palpitant bourré d'action et de revirements. Dommage que l'image soit si mauvaise, les lettres reçues sont presque illisibles et les intertitres tout juste déchiffrables pour suivre. C'est typiquement le genre de film qu'on aimerait voir dans une bonne version. (Je n'ai pas vu la version Alpha video ci-dessus)
La fin finit en queue de poisson, il doit manquer un petit bout de film.


L'habit ne fait pas le moine,  Sylvia, bon chic bon genre n'est pas à la hauteur de son aspect. Tex, la fille aux blagues douteuses (la pauvre Sylvia en a fait les frais à son arrivée !), a le coeur gros comme une maison et du courage à revendre. Les hommes visiblement se leurrent tout seuls face aux femmes mais heureusement tout finira pour le mieux.

Quelques répliques sont fort bien trouvées, le tout est enlevé et très divertissant.

51 minutes

Texas Guinan ...
Tex Henderson

Francis Ford ...
Robert Wagner

Frederick Moore ...
Jim Henderson, Tex's Father

Jeanne Carpenter ...
Mary, Wagner's Little Daughter (as Jean Carpenter)

Vale Rio ...
Pancho

Fred Kohler ...
Steve Norton

Kingsley Benedict ...
Beauty Anders

vendredi 23 septembre 2016

Tangled Trails - Charles Bartlett - 1921

Neal Hart  /  Cpl. Jack Borden

Violet Palmer  /  Milly
Gladys Hampton/  Blanche Hall
Jean Barry  /  Mrs. Hall
Jules Cowles  /  The Stranger
Edward Roseman  /  Phil Lawson
56 minutes
Autre titre : Sands of Sacrifice
Dans les grands territoires du Nord Ouest du Canada. Phil Lawson (Roseman) est un escroc qui fait miroiter la possession de mines sans valeur à des gens crédules qui les achètent pour se rendre compte ensuite qu'elles ne valent rien. 
Un jour l'un d'eux menace de tout révéler si Lawson ne lui rembourse pas ses pertes. Lawson le précipite dans la mine et le laisse pour mort. Un voisin qui passait prévient la police montée qui charge l'un de ses hommes, le Caporal Jack Borden (Hart) d'arrêter Lawson. 
En chemin Jack découvre que l'homme de la mine n'est pas grièvement blessé. Celui-ci lui explique les manigances de Lawson qui s'enfuit pendant ce temps de l'autre côté de la frontière en train. Jack le poursuit mais son cheval s'encouble et chute lourdement dans la neige. 
Son cavalier est assommé et a la surprise d'être pris en charge par une jeune fille, Milly (Palmer), qui vit seule avec son père dans une cabane non loin d'une petite localité. 
Jack se repose un temps et fait la connaissance du père de Milly qui semble avoir un secret.
Lorsqu'il repart Jack se rend compte que Lawson a réussi à passer la frontière pour se rendre dans une ville où il compte bien trouver encore quelques pigeons prêts à lui acheter ses mines sans valeur. Jack prend le train suivant et retrouve le bureau de Lawson. 
Celui-ci est en train de molester sa secrétaire Blanche Hall (Hampton). Jack prend sa défense mais ne peut arrêter l'escroc hors de sa juridiction. 
Plus tard, chez Blanche et sa mère il découvre que le père de Milly a une grosse ressemblance avec le mari de Madame Hall qui l'a abandonnée 15 ans plus tôt en emmenant sa plus jeune fille suite à des commérages et un malentendu.
 Avec leur aide il retrouve la trace de Lawson qui lui échappe à nouveau pour retourner dans le Nord ...
On joue au chat et à la souris pendant tout ce film dont l'attrait principal est le contraste entre les paysages enneigés et la ville. 
Jack va se changer pour prendre le train, troquant au passage sa lourde pelisse et sa toque contre un costume trois pièces et un chapeau cowboy.
C'est une histoire toute simple, contée linéairement sans fioritures inutiles. Le héros en la personne de Neal Hart semble d'une gentillesse confondante. Pas étonnant que son surnom soit America's Pal. Il parait qu'il adorait incarner des mounties!
En parlant à son cheval il lui dit gentiment en désignant la neige que c'est aussi blanc mais que ce n'est pas du sucre. 
Il ne faut pas se méprendre, Neal Hart a certainement l'air gentil mais il sait aussi se servir de ses poings et n'hésite pas à se lancer dans la bagarre. Comme il semble petit et costaud, il donne l'impression d'être d'une stabilité à toute épreuve.
Le final bien que terminant sur une note optimiste est surprenant, un peu à la façon d'un Lucky Luke qui part au loin sans se retourner et qui chante ‘I'am a poor lonesome cowboy’ notre héros s'en va.
Violet Palmer et Gladys Hampton sont plutôt mignonnes mais ont des physiques assez standards, et cela les rend d'une certaine façon plus proches du spectateur.
Ce genre de film vous fait basculer en arrière dans le temps et vous donne la nostalgie des choses simples. Lorsque The End s'affiche sur l'écran, vous souhaiteriez vous retrouver à cette époque où le temps semblait durer plus longtemps et les gens donnaient l'impression d'être moins compliqués.
A ce jour comme il est impossible de trouver des photos de Neal Hart autres que les deux ou trois habituelles, pour le plaisir je rajoute quelques captures d'écran de ces visages aux expressions souvent si douces ...

(Par contre on peut voir ce film sur le net ...)
Violet Palmer
Gladys Hampton - Blanche
Adieu, au revoir ou... à bientôt ?

jeudi 24 décembre 2015

The Sky Pilot - King Vidor – 1921

John Bowers  /  The Sky Pilot
Colleen Moore  /  Gwen
David Butler  /  Bill Hendricks
Harry Todd   /  The Old Timer
James Corrigan  /  Honorable Ashley
Donald MacDonald  /  The Duke
Kathleen Kirkham  /  Lady Charlotte

Une durée de 77 minutes

Au fin fond du Canada, dans un endroit reculé appelé Swan Creek, l'unique passe-temps consiste à dépenser son argent au bar local après le travail. Un jour arrive un pasteur ("sky pilot" en argot) éduqué venu de Montreal (Bowers). 
Comme les buveurs et joueurs attablés se moquent de lui, il tend une lettre à Bill Hendricks, le contremaître d'Ashley en lui demandant de faire en sorte que le bar soit mis à sa disposition le dimanche suivant. 
Le jour même Bill (Butler) demande aux cowboys de prendre un air compassé et interrompt la cérémonie par ses moqueries sous les sourires d'une grande partie de l'assistance. 
Pilot demande aux personnes présentes de bien vouloir le faire sortir mais personne ne bouge. Pilot retrousse alors ses manches et flanque une mémorable correction à Bill qui reste assommé pendant que ses comparses chassent Pilot en l'emmenant hors de la ville. Bill se met à sa poursuite et les deux hommes fraternisent. 
Bill explique alors à Pilot qu'il lui faudra faire ses preuves en tant qu'homme avant de convaincre quiconque dans ces parages et fait engager Pilot comme employé du ranch bien que celui-ci ne sache même pas monter à cheval correctement. Bill se charge de lui apprendre l'art de mener un ranch.
Non loin de là un vieil homme a perdu la foi suite au décès de sa femme. Il vit seul avec sa fille Gwen (Moore) et subit l'influence d'un voleur local surnommé le Duke qui souhaite dérober une partie des têtes de bétails d'Ashley et qui se met en tête de se débarrasser de Pilot ....


En voilà un chouette western sympathique : l'histoire est simple et bien menée. 
Petit à petit Pilot fait sa place et gagne le respect des hommes, surtout après un acte héroïque qui le pousse à éviter à Gwen d'être piétinée par le troupeau volé par Duke. Malheureusement elle restera malgré tout handicapée des jambes. Pilot s'occupe de lui remonter le moral pendant que les cowboys lui font une très grande surprise qu'il découvrira le jour de Noel ...


Je m'arrête là pour ne pas dévoiler le suspens. 
En effet l'issue du film reste malgré tout incertaine jusqu'à la fin. John Bowers est charmant dans le rôle de ce Sky Pilot plein de bonne volonté et David Butler tout à fait à la hauteur de son rôle qui a tout autant d'importance. 
Les deux hommes se montrent plusieurs fois dans des scènes d'amitié virile qui pourraient prêter à équivoque de nos jours et sont tous deux très séduisants dans leur rôle respectif. Colleen Moore se montre mutine et charmante comme toujours. 
L'histoire de cette communauté loin de tout qui se range petit à petit est touchante. Une histoire très morale.


Les paysages du Canada sont grandioses, toutes les images de la fin qui se passent dans la neige sont magnifiques. 
Il existe une vidéo de chez Critics Choice Video avec une musique d'accompagnement par David Schimmel que j'ai trouvée étonnante : en effet il joue de l'accordéon et chante plusieurs fois de manière très simple et basique ...(voire il chantonne quelquefois). 
J'ai trouvé plutôt cet accompagnement plutôt agréable et sympathique, bien qu'osé. Un film très recommandé.
David Butler se lancera dans la réalisation avec succès vers la fin des années 20. John Bowers se suicidera en 1936 à l'âge de 50 ans en se noyant dans l'océan Pacifique. Sa vie semble avoir inspiré le rôle de Norman Maine dans les deux versions de "A Star is Born".

On trouve ce film aussi chez Harpodeon.
http://www.harpodeon.com/product/The_Sky_Pilot/42096
Obscure Hollywood
http://anagramsci.wordpress.com/2010/07/21/swing-and-miss-sweet-charioteer

mardi 21 mai 2013

Jesse James Under the Black Flag - Franklyn B. Coates - 1921

Diana Reed ... Lucille James - daughter of Jesse James Jr. (prologue and epilogue)
Jack Neil ... Robert Standing - Lucille's Sweetheart (prologue and epilogue)
Harry Hall ... Charles William Quantrell
Marguerite Hungerford ... Zee Mimms - Mrs. Jesse James
F.G. McCabe ... Bloody Bill Anderson
Sunshine Baker ... Mrs. Sam Clifton
Ralph Johnson ... Judge Bowman
Hortense Espey ... Mrs. Bowman
Jack Wall ... Captain Arch Clements
Mrs. Car t...J esse's Mother
William Baker ... Jesse's Step-Father

Frances Coffrey ... Susan - Jesse's Sister

69 minutes


Le réalisateur Franklin B. Coates se rend chez le fils de Jesse James. Il fait la connaissance de sa femme et plus tard de sa fille Lucille. 
 Celle-ci est courtisée par Robert Standing qui demande sa main. Jesse James Jr lui donne un livre à lire avant de s'engager définitivement de manière à ce qu'il connaisse le passé de la famille.
Le livre nous conte une partie de la vie du légendaire outlaw Jesse James depuis le moment où il quitte la maison et rejoint les troupes de Quantrill et promet allégeance au drapeau noir de la bande durant la guerre civile.
Après la guerre il semble que le pardon ait été accordé aux membres de la troupe de Quantrill sauf à quelques uns dont Jesse James. De nombreux hors la loi semblent avoir utilisé son nom pour commettre leurs larcins et visiblement Jesse James a été traqué tout le reste de sa vie. 
Un jour il fait la connaissance chez le Juge Bowman de Zee qu'il épousera et qu'il lui donnera deux enfants.
Alors qu'il cherchait à refaire sa vie au Missouri il est abattu par les lâches frères Ford, attirés par la récompense de sa capture mort ou vif de $5'000.-
Le film est en fait un montage de deux films réunis réédité en 1930 : Jesse James as the Outlaw et Jesse James under the Black Flag. Jesse James Jr joue son propre rôle durant les 7 premières minutes qui introduisent l'histoire de son père, qu'il joue aussi par la suite.
Jesse James Junior avait 7 ans et se trouvait dans la pièce d'à côté lorsque son père a été abattu d'une balle derrière la tête alors qu'il remettait un tableau droit.  
Il a vu son père dans les bras de sa mère désespérée. Le film est sa vision des choses, telles que sa mère lui les a communiquées.
Il semble ne faire aucun doute que Jesse James ait été un père aimant. 
Le film le montre aimable et gentil avec bon nombre de personnes dont des enfants. L'occasion de voir une autre version de la vie de ce bandit qui a inspiré de nombreux films et légendes. 
Il est toutefois difficile d'être objectifs face à cette histoire qui réhabilite complètement Mister James.
Le film ne comporte aucun intertitres, une voix off narre les faits. L'image de chez Grapevine Video n'est pas trop mauvaise. Bruits sonorisés et sons un peu étouffés mais le tout est compréhensible pour ceux qui maitrisent la langue anglaise.

Messages les plus consultés