May Et Chance - Les Journaux De June Wolf Hadley

May Et Chance - Les Journaux De June Wolf Hadley
Voici une lecture western à lire est à ranger dans votre bibliothèque. Un roman de Jim Fergus paru aux éditions ‘Actes sud’ le 03/11/2022 avec 310 pages dans un format broché de 22 x 14 cm. Le résumé : L'incroyable destin de May Dodd, l'héroïne de la trilogie Mille femmes blanches. 1875. Du fait de son mode de vie anticonformiste, May Dodd, jeune femme de la bourgeoisie de Chicago, est séparée de ses enfants avant d'être enfermée par sa famille dans un asile. Sa seule façon de s'en sortir : rejoindre un convoi de femmes blanches destinées à épouser des guerriers cheyennes. Devenue l'épouse du chef Little Wolf, May prend fait et cause pour les Indiens face aux traîtrises du gouvernement. 1877. May quitte le camp des Cheyennes pour Chicago, où elle espère retrouver ses enfants…

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mardi 29 octobre 2013

Don 'Red' Barry

                                             

                                   Don ‘Red’ Barry 1911-1980


Donald Michael Barry: est né le 1/11/1911 au Texas.
 
Sa carrière de star débute véritablement avec la série Western "THE RED RIDER" en 1940.
Les studios REPUBLIC avaient (à cette date) acquis les droits sur le personnage de bande dessinée crée par Fred Harman.
Ce personnage était alors représenté sur le papier comme grand et svelte.
Lorsque le studio contacte Barry pour lui demander d'interpréter le rôle à l'écran celui-ci refuse, de peur de paraître ridicule de par sa petite taille.
Mais le patron de la Republic Herbert Yates ne lui laisse pas le choix (car lui est sûr du sien) : "ou vous jouez Red Ryder ou vous prenez la porte". L'Histoire fît le reste...
Réalisé durant l'été 1940, "THE ADVENTURES OF RED RYDER" (serial de 12 chapitres) a été un succès avec Barry et Dave Sharpe (au doublage pour les cascades à cheval).
C'est à ce moment là que Barry hérite de son surnom de "Red" qui le suivra tout au long de sa vie.
Beaucoup de ces Westerns bénéficiaient d'un solide scénario, surtout les premiers tournés comme : "GHOST VALLEY RAIDERS", "THE TULSA KID" (1940), "WILCAT WYOMING" (1941), "DEATH VALLEY OUTLAWS" (1941), "SUNDOWN KID" (1942), "THE SOMBRERO KID" (1942) et "DAYS OF OLD CHEYENNE" (1943).
Le producteur George Sherman a été chargé de réaliser les 17 premiers. Puis, il est passé à autre chose avant de revenir réaliser les onze derniers de la série "Ryder" en commençant par "OUTLAWS OF PINE RIDGE" (1942).
Entre-temps, de nombreux réalisateurs se succèdent : William Witney, John English, Howard Bretherton, Spencer Gordon Bennet et Elmer Clifton.
A un moment donné, la Republic donnera à Barry un jeune partenaire en la personne de Watts Twinkle, de façon à apporter à la série une touche juvénile (Watts travaillera plus tard avec Allan Lane).
En 1943-1944, les studios Republic disposaient de plusieurs as : Roy Rogers, Sunset Carson et Bill Elliott.

La série "The Three Mesquiteers" avait été annulée après la saison 1942-1943. Cela n'allait pas tarder à être le cas pour la série avec Barry.
En effet, le dernier film "OUTLAWS OF SANTA FE" étant produit au printemps 1944.
Cela ne dérangeait pas Barry outre mesure, car il était fatigué de faire des Westerns B (mais son fort caractère et son égo ont peut-être lassés les studios).
William Witney à écrit dans ses mémoires que Barry était un comédien très difficile à diriger.
Le studio le remplaça alors par Allan Lane, un comédien "REPUBLIC" ayant déjà fait ses preuves avec un certain brio, notamment dans le serial "KING OF THE ROYAL MOUNTED" (1942) ou encore "DARDEVIL OF THE WEST" (1943).
Le premier "Red Ryder" avec Lane est "SILVER CITY KID" achevé durant l'été 1944.
Pendant le reste des années 40, on peut revoir Don Barry chez Republic dans divers Westerns comme "BELLS OF ROSARITA" (1945) avec Roy Rogers, "THE PLAINSMAN AND THE LADY" (1946) avec Bill Elliott et "OUT CALIFORNIA WAY" (1946) avec Monte Hale.
Vers 1949, il travaille pour Robert L. Lippert (Screen Guild and Lippert Pictures): "THE DALTON GANG" (1949), "GUNFIRE" (1950), "TRAIN TO TOMBSTONE" (1950) et "I SHOT BILLY THE KID" (1950).
Durant les années 50 jusqu'à la fin des années 70, il fait de nombreuses apparitions dans des séries à succès comme : GUNSMOKE, MAVERICK, COLT 45, THE VIRGINIAN, BONANZA, THE LAWMAN...etc.
Il décède le 17 juillet 1980.


 
Ses Westerns chez REPUBLIC : 

1940 :
GHOST VALLEY RAIDERS
THE ADVENTURES OF RED RAIDERS
ONE MAN'S LAW
THE TULSA KID
FRONTIER VENGEANCE
TEXAS TERRORS

1941 :
WYOMING WILDCATS
THE PHANTOM COWBOY
TWO GUN SHERIFF
DESERT BANDIT
KANSAS CYCLONE
THE APACHE KID
DEATH VALLEY
A MISSOURI OUTLAW

1942 :
ARIZONA TERRORS

STAGECOATCH EXPRESS
JESSES JAMES, JR
CYCLONE KID

1943 :
DEATH MAN'S GULCH
CARSON CITY CYCLONE
DAYS OF OLD CHEYENNE
FUGITIVE FROM SONORA
BLACK HILLS EXPRESS
THE MAN FROM RIO GRANDE
CANYON CITY
CALIFORNIA JOE

1944 :
OUTLAWS OF SANTA FE

Ses Westerns chez "SCREEN GUILD/LIPPERT":
 

1949 :
THE DALTON GANG
RED DESERT
TOUGH ASSIGNMENT
SQUARE DANCE JUBILLEE

1950 :
I SHOT BILLY THE KID
GUNFIRE
TRAIN TO TOMBSTONE
BORDER RANGERS

1954 :
JESSE JAMES' WOMEN


dimanche 27 octobre 2013

Noose for a Gunman - Edward L. Cahn -1959



Edward  L. Cahn est un petit réalisateur de série B qui demande à être connu.
Prolifique dans  les films d’horreur et dans les westerns ‘Noose for a
Gunman’  a fait parti de l’un de ses 10 westerns tournés dans sa carrière.
Edward nous filme ce dernier en 70 minutes, western urbain avec Jim Davis, cowboy de grande taille et vedette principale:

Le cowboy Case Britton  rentre dans son patelin natal où il retrouvera sa petite amie Della Haynes  mais les citoyens ne sont pas trop enthousiastes de son retour car il a tué 2 hommes auparavant.
Le Marshal Tom Evans  et Jim Ferguson  le propriétaire de l’hôtel  se lieront d’amitiés avec Case pour nettoyer le Downtown du cattle-baron  Carl Avery  et  de son homme de main Link Roy .
Pour cela ils sont aidés par une bande outlaws menés par Cantrell  qui veut dominer la ville et prendre la place du Marshal…….


Sur la toile :
Jim Davis / Case Britton
Barton MacLane / Carl Avery
Lyn Thomas / Della Haines
Ted de Corsia / Jack Cantrell
Leo Gordon / Link Roy
Walter Sande / Marshal Tom Evans
Harry Carey Jr. / Jim Ferguson
Lane Chandler / Ed Folsey
William Tannen / Willetts
William Challee / Gorse 


samedi 26 octobre 2013

The Lone Ranger / Le justicier solitaire - Stuart Heisler - 1956

Clayton Moore, Jay Silverheels, Lyle Bettger, Bonita Granville, Michael Ansara, Robert J. Wilke, Frank deKova, John Pickard, Beverly Washburn, Perry Lopez, Lee Roberts

86 minutes
Le justicier solitaire


Kilgore est un riche propriétaire foncier. Son ranch se trouve non loin d'une réserve indienne où vivent Red Hawk, un vieux et sage chef et son  peuple. La région est peu sûre car du bétail est dérobé et des crimes perpétrés. Le gouverneur se rend dans la petite communauté dans le but de découvrir qui se cache derrière ces crimes. Kilgore et la moitié de la population sont convaincus qu'il s'agit là d'attaques des indiens et prie l'envoyé de Washington de déplacer la réserve. Or il se trouve que Kilgore pourtant déjà propriétaire de nombreux hectares s'intéresse de très près à la réserve des indiens car la montagne possède de riches veines d'argent...
Le gouverneur charge le Lone Ranger et son fidèle Tonto d'enquêter. Ils se font aider par un jeune mexicain Pete Ramirez que le Lone Ranger a sauvé d'une attaque de voleurs qui disparaissent mystérieusement derrière l'entrée de la réserve des Indiens.
Engagé comme homme de main par Kilgore pour mener un troupeau à Abilene, Ramirez sera précieux pour ses observations. A Abilene Cassidy se doute malheureusement que le jeune homme a vu la dynamite qu'il compte ramener secrètement à Kilgore et l'abat sans façon, de même qu'il a abattu le père du shérif Kimberley.
Le Lone Ranger et Tonto ont fort à faire pour maintenir la paix, tant chez les indiens que Angry Horse harangue afin qu'ils attaquent que dans la petite ville influencée par le pouvoir de l'affreux Kilgore ...

Le Lone Ranger en couleurs, youpie ! L'action est constante et bien construite. D'un côté Kilgore, père de famille qui adule sa petite fille en la traitant comme le fils qu'il aurait souhaité avoir tout en méprisant sa femme qui vient de l'Est et à laquelle il ne manque pas de rappeler qu'elle ne peut pas comprendre en l'éloignant de sa petite fille. De l'autre on a les indiens menés par Red Hawk (incarné par cet acteur polyvalent et excellent, je nomme Frank deKova !) qui doit faire face à la fougue de son bras droit Angry Horse (alias Michael Ansara dans un autre rôle d'indien).
Lee Roberts et John Pickard
Au milieu on a une petite communauté d'où émergent deux esprits libres, le shérif Sam Kimberley (John Pickard) et John Muller (Lee Roberts) l'attaché aux affaires indiennes : Tous deux tentent plus ou moins de contrer Kilgore et son affreux homme de main Cassidy, incarné par le toujours inquiétant Bob Wilke.
 The Lone Ranger se déguise en vieil homme pour obtenir des informations et son fidèle Tonto se voit sur le point d'être lynché par la foule en colère. Avec l'aide de Scout et de Silver nos deux super héros vont s'en sortir non sans difficulté !
Que du plaisir ce film !

L'un des derniers films de Bonita Granville qui, après avoir épousé le producteur Jack Wrather se tournera vers la TV puis vers la production en produisant les Lassie.
Sa dernière brève apparition sera dans The Legend of the Lone Ranger 1981.

.. Et encore Kermit Maynard, Buddy Roosevelt, Jack Mower et Lane Chandler !

vendredi 25 octobre 2013

On Location in Lone Pine


A propos de lecture, un  livre à découvrir qui permettra de vous faire connaitre tous les films et westerns qui ont été tournés à LONE PINE dans la région d’ALABAMA HILLS.
Un livre qui a déjà eu une parution en 1990 et mis à jour en 2005 avec pas mal de films en complément.
Néanmoins une petite déception de cette nouvelle parution qui n’est pas de meilleure qualité que la précédente.
Les pages sont décevantes et ressemblent à des photocopies, mais cela reste le seul ouvrage à avoir un répertoire complet des films, pas mal de photos, et de nombreux plans de repérages de tournages ; le tout en noir et blanc et au format Italien de 29x21 avec 110 pages.
Par contre sur les lieux même et avec les plans il est difficile de s’y retrouver, cela reste le parcours du combattant !.....



jeudi 24 octobre 2013

Diablo

Diablo

A ne pas confondre avec Dice, en effet Diablo était lui aussi un cheval paint horse de McCutcheon, il s'agit également d'un pie noir overo, aux yeux verrons, sauf que la tête de Diablo est beaucoup plus blanche du côté droite et ses jambes sont blanchies de quatre balzanes hautes chaussées (Dice a l'antérieur droit noir).
Il est monté par Duncan Renaldo (en particulier dans le Cisco Kid), John Carroll (dans le sérial Zorro rides again 1937), Bill Elliott...

mercredi 23 octobre 2013

Left Handed Law - Lesley Selander – 1937



Buck Jones / Alamo Bowie
Noel Francis / Betty Golden
Matty Fain / One-Shot Brady
George Regas / Sam Logan
Robert Frazer / Tom Willis
Lee Phelps / Sheriff Joe Grant
Nina Quartero / Chiquita
Frank LaRue / John Golden
Lee Shumway / Pecos Brown
Silver, jr / Alamo's Horse

62 minutes

Une bagarre éclate dans un bar et termine dans la rue où l'un des hommes bouscule Betty Golden, une jeune fille qui se retrouve par terre au milieu des paquets qu'elle transportait. Arrive alors à sa rescousse Alamo Bowie, un enquêteur de la Wells Fargo qui fait fuir les importuns. Après un bout de chemin avec la jeune fille, Alamo retrouve son chef qui veut l'envoyer enquêter sur des vols de bétails au ranch JbarG. Mais Alamo n'a pas fermé l'oeil depuis des jours et prétexte une grosse fatigue afin d'éviter ce nouveau travail. Lorsqu'il comprend que Betty est la fille de John Golden, le propriétaire du ranch, il fait rapidement volte face ! L'enquête l'entraine relativement vite sur les traces de quatre malfrats particulièrement bien organisés qui sévissent près de la frontière mexicaine ...

Dommage ce film commençait pourtant bien avec un début accrocheur. Malheureusement l'action s’essouffle très vite comme si tout à coup le scénario manquait de matière ou avait carrément des absences. Les dialogues vont par à-coups, de même le rythme général qui souffre d'un manque de souffle flagrant et c'est fort navrant. Pourtant Buck se montre solide et avec l'humour et le charme discret qu'on lui connait, l’héroïne est charmante, mais voilà, cela ne suffit pas à faire décoller ce film.

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