A la fin de la guerre civile, Wild Bill Hickok s'en retourne chez lui. En chemin il est attaqué par des Cheyennes. Sur le point d'être tué il doit son salut à l'intervention de Black Kettle, le chef pacifique de la tribu doublé d'un vieil ami.
Son cheval abattu durant l'échauffourée, Hickok marche quelque temps avant d'apercevoir la diligence conduite par Calamity Jane qui se montre ravie de le revoir après 4 ans d'absence. En ville Hickok se rend au fort et prévient le Lt Stiles que les indiens sont armés de fusils Henry.
Stiles se montre plus outré par l'état de son uniforme qu'intéressé par l'information. Hickok va prendre un bain et échange son uniforme élimé contre ceux d'un journaliste anglais venu écrire un article sur le Far Ouest.
Au saloon il retrouve son vieil ami Bill Cody qui est maintenant marié et qui lui remet ses cartes et ses jetons afin qu'il termine la partie entamée. Après avoir gagné Hickok finit par perdre une grosse fortune avant de prouver que Latimer, son adversaire, cachait ses cartes dans son chapeau.
Le shérif souhaiterait maintenant engager Hickok comme deputy mais il refuse.
Le shérif souhaiterait maintenant engager Hickok comme deputy mais il refuse.
L'armée demande à Cody de guider un convoi dans un canyon et pendant son absence les indiens menés par Crazy Knife kidnappent par erreur Calamity qu'ils prennent pour sa femme...
La version comique du film tourné 30 ans plus tôt par Cecil B. DeMille avec Gary Cooper et Jean Arthur et James Ellison.
Il est en effet difficile de prendre au sérieux l'action. Après quelques secondes de film, le héros commence par prendre un bain de pieds dans une rivière.
Après avoir senti ses chaussettes qui visiblement dégagent des effluves peu ragoutantes, il les enterre délicatement avant de se rendre compte qu'il est sur le point d'être attaqué par les indiens.
Lorsque les indiens s'en prennent à Calamity, elle essaie de les convaincre de prendre quelques fanfreluches que certains mettent sur leur tête. L'un d'eux se regarde dans un miroir déformant je vous laisse imaginer sa tronche !
Après avoir senti ses chaussettes qui visiblement dégagent des effluves peu ragoutantes, il les enterre délicatement avant de se rendre compte qu'il est sur le point d'être attaqué par les indiens.
Lorsque les indiens s'en prennent à Calamity, elle essaie de les convaincre de prendre quelques fanfreluches que certains mettent sur leur tête. L'un d'eux se regarde dans un miroir déformant je vous laisse imaginer sa tronche !
Ensuite Calamity poursuit Hickok pour lequel elle éprouve un doux penchant mais le pauvre garçon passe son temps à la fuir. Calamity/Abby Dalton a une certaine ressemblance avec Elke Sommers et incarne une Calamity excessive mais pas dénuée de bon sens.
Don Murray n'a pas beaucoup changé depuis Bus Stop pourtant tourné 10 ans plus tôt.
Il y a une pléiade d'acteurs qu'on est sûrs d'avoir déjà vu sans réussir à mettre un nom sur leurs visages, comme le petit et fluet Walter Burke que l'on peut voir dans d'innombrables séries, Edward Binns le juré numéro 6 de 12 Angry Men / Douze hommes en colère (1957) avec Henry Fonda, Simon Oakland, le Général Moore des Têtes Brulées avec Robert Conrad (1976-1978), Henry Silva, Leslie Nilsen qui apparaît dans le rôle de Custer tout à la fin, et j'en passe.
L'histoire est bourrée de clichés, il y a de l'action, de la comédie, de la torture, de la romance, des courses poursuites, des échanges de coups de feu, etc, tout ce qu'il faut pour passer un moment de détente. Ce film mériterait une jolie édition car il y a quelques belles images qui mériteraient d'être mises en valeur.
Don
Murray ... Wild Bill Hickok
Guy
Stockwell ... Buffalo Bill Cody
Abby
Dalton ... Calamity Jane
Bradford
Dillman ... Lt. Stiles
Henry
Silva ... Crazy Knife
Simon
Oakland ... Chief Black Kettle
Leslie
Nielsen ... Col. George Armstrong Custer
Edward
Binns ... Lattimer
Michael
Evans ... Estrick
Percy
Rodrigues ... Brother John
92 minutes