Welcome on Western Mood, le blog sur lequel on parle films, serials, livres, musique, chevaux et bien plus encore ... Lou et Jica se réjouissent de votre visite !
Voici une lecture western à lire est à ranger dans votre bibliothèque. Un roman de Jim Fergus paru aux éditions ‘Actes sud’ le 03/11/2022 avec 310 pages dans un format broché de 22 x 14 cm. Le résumé : L'incroyable destin de May Dodd, l'héroïne de la trilogie Mille femmes blanches. 1875. Du fait de son mode de vie anticonformiste, May Dodd, jeune femme de la bourgeoisie de Chicago, est séparée de ses enfants avant d'être enfermée par sa famille dans un asile. Sa seule façon de s'en sortir : rejoindre un convoi de femmes blanches destinées à épouser des guerriers cheyennes. Devenue l'épouse du chef Little Wolf, May prend fait et cause pour les Indiens face aux traîtrises du gouvernement. 1877. May quitte le camp des Cheyennes pour Chicago, où elle espère retrouver ses enfants…
Richard Dix...Yancey Cravat Irene Dunne...Sabra Cravat Estelle Taylor...Dixie Lee Nance O'Neil...Felice Venable William Collier Jr....The Kid Roscoe Ates...Jesse Rickey George E. Stone...Sol Levy Stanley Fields...Lon Yountis Robert McWade...Louis Hefner Edna May Oliver...Mrs. Tracy Wyatt Judith Barrett...Donna Cravat Eugene Jackson...Isaiah
Poussé par l'enthousiasme de son époux, une jeune femme quitte une vie bien rangée et une
famille bien comme il faut de Wichita pour l'Oklahoma. Arrivé dans une
ville qui pousse comme un champignon, Yancey fonde le Oklahoma Wigwam,
le premier journal local. Défenseur des opprimés, grand orateur, son
influence est énorme et son énergie débordante. Sa femme a bien de la
peine à suivre ses idées révolutionnaires, son enthousiasme et son
envie de découvrir et de participer sur tous les fronts. Bientôt Yancey
repart pour le Cherokee Strip, réapparait au bout de 5 ans pour
redisparaître à nouveau ...
Oscar 1932 - Meilleur film. Meilleurs décors & direction artistique
J'ai retardé le plus longtemps possible le visionnement de ce film
car je n'avais pas trop apprécié la version de 1960 d'Anthony Man avec
Glenn Ford et Maria Schell dans le rôle de la pleurnicheuse Sabra.
Ce film couvre une période allant de 1889 - 1929, années durant lesquelles nous suivons le développement d'une ville.
Richard Dix incarne avec une force immense l'enthousiasme et la passion
de manière extravertie. Il l'exprime et vibre par tous les pores de sa
peau avec une honnêteté communicative et contagieuse. Le moteur de sa
passion semble motivé par l'amour (de son prochain et de son pays) et
l'envie de découvrir (et donc de comprendre). J'ai vibré avec Yancey, je
me suis enthousiasmée avec lui, et je me suis sentie portée par le
lyrisme communicatif du film.
Irene Dunne en Sabra m'apparait
franchement assez pénible dans ce film. Comme toutes les personnes sans
imagination, elle ne s'intéresse qu'au qu'en dira-t-on, vénère son train
train quotidien bien sécurisé et voit toute personne "différente" comme
une menace. Mais elle apparait aussi comme un refuge à Yancey qui
revient à elle périodiquement : "Wife and mother, stainless woman, hide me... hide me in your love" Un hommage aux choses immuables et stables qui ne provoquent pas de
grand questionnement mais qui sont bien rassurantes aux yeux d'une
personne qui a pris des risques et vécu au plus proche de ses
aspirations et qui, au final, se retrouve bien seule ? (besoin de se
reposer enfin et une manière de reconnaître l'autre dans ce qu'il a de
différent).
Ceci dit, dans le fond, ce
couple a bien de la chance : Sabra et Yancey sont, grâce à ce qui les
oppose, très complémentaires et cela permet en particulier à Sabra de
faire quelques progrès face aux nouveautés. Yancey se perd un peu, lui,
dans le feu de l'action. Sans prendre parti pour l'un ou pour l'autre, j'avoue me sentir plus
proche de Yancey par le caractère (il n'y a pas de connotation positive
ou négative qualifiant les actes des protagonistes, chacun ayant suivi
une voie distincte au final).
A noter que c'est Sabra qui
retire tous les fruits et les bénéfices de l'imagination et
l'enthousiasme de son mari, un phénomène qui arrive souvent dans la vie
(dans le sens qu'une autre personne que l'instigateur obtienne une
reconnaissance !)...
Les
personnages de Sol Lévy (George E. Stone) et Jesse Rickey (Roscoe Ates)
ainsi que Tracy Wyatt (Edna May Oliver) sont parfaits chacun dans leur
genre !
Citations
Sol Levy:
They will always talk about Yancy. He's gonna be part of the history of
the great Southwest. It's men like him that build the world. The rest
of them, like me... why, we just come along and live in it.
Sabra Cravat: Did you have to kill him? Yancy Cravat: No, I could have let him kill me.
Sabra Cravat: Do you feel nervous about your sermon, dear? Yancy Cravat: I'd rather plead to a Texas jury than preach to this gang.
Yancy Cravat:
I'll show them first crack that the Oklahoma Wigwam prints all the news
all the time - knowing no law except the law of God and the government
of the United States. Say, that's a pretty good slogan! Top of the
page - just ahead of the editorial column!
Mrs. Tracy Wyatt: One of my ancestors was a signer of the Declaration of Independence. Sol Levy: That's all right. A relative of mine, a fellow named Moses, wrote the Ten Commandments.
[caption at the beginning of the film]
Caption: In 1889, President Harrison opened the vast Indian
Oklahoma Lands for white settlement... 2,000,000 acres free for the
taking, poor and rich pouring in, swarming across the border, waiting
for the starting gun, at noon, April 22nd.
Stuart débute à Hollywood comme accessoiriste puis assistant
et ensuite un solide
monteur de 1924 à 1936 pour finir enfin réalisateur.
Stuart et Gary eurent deux collaborations, la première en 1945 avec "Along Came Jones» ,un
western comédie et la seconde avec ‘Dallas’, un western plus solide.
Stuart nous a gratifiés en 1956 avec “The Lone Ranger”
Dans les années 60 il va se tourner vers la télévision
pour des séries où il y finit sa carrière.
Vers 1868 dans la région de Dallas deux cavaliers
mexicains galopent à vive allure lorsqu'ils sont rejoints par un troisième
cavalier au croisement de la piste.
Ce cavalier informe son patron Don Felipe Robles et son fils Luis
que la bande des frères Marlow est en
train de chaparder leur bétail.
Aussitôt ils se mettent en route et Don Felipe va demander des comptes à Will
Marlow qui va simuler qu’il est à la poursuite des voleurs.
Pendant ce temps dissimulé derrière un bosquet, Cullen le complice
de Bryant Marlow va tirer sur Luis qui sera blessé sous les yeux de son père.
Don Felipe
informe Will Marlow qu’un U. S. Marshall
est en route afin de rétablir l’ordre à Dallas.
Peu après débarque à Dallas dans la stagecoach l’U.S.
Marshal Martin Weatherby, un dandy pas très expérimenté qui va faire
la connaissance du célèbre Wild Bill Hickok et de l’ancien officier sudiste Blayde
Hollister qui continue sa guérilla contre l’armée du nord qui a mis sa tête à
prix.
Notre U. S. Marshall accepte de laisser Blayde
Hollister prendre son identité grâce à
un subterfuge qui le fait passer pour
mort.
Pendant ce temps Blayde va apprendre que les frères
Marlow sont dans la région et font régner la terreur sur la ville de Dallas. Durant la guerre, les frères ont été responsables de la
mort de sa famille et l’ont dépossédé de ses biens.
Blayde devenu le U.S. Marshall Martin Weatherby va enfin pouvoir
se venger. Pour ce faire nos deux hommes se rendent dans l’hacienda de Don Felipe Robles où Blayde va faire la connaissance de la
belle Tonia Robles, fille de Don Felipe et fiancée de Martin Weatherby……
Après un round-up, Rod, Ramrod et Half-a-Rod se rendent à Steep Gulch où de la main d'oeuvre est demandée, surtout si elle a de la poigne. En chemin les trois amis entendent des appels à l'aide et descendent de quelques pas au fond d'un canyon afin de porter assistance à un blessé. Pendant ce temps des voleurs menés par Mace s'emparent de leurs chevaux et s'enfuient, de même que l'homme en bas du talus.
Grugés les trois hommes reprennent leur chemin à pieds, tandis que Mace tente de monter Tarzan, le cheval de Rod qui se lance dans une succession de ruades qui désarçonnent vite fait l'affreux bonhomme qui finit, après deux tentatives sans succès, par se saisir de son fouet et asséner des coups sur la croupe de l'animal qui s'enfuit avant de retrouver son maitre en ville.
Justement Rod et ses copains demandent où se trouve le shérif au barman qui leur explique qu'il n'y en a pas car ils ne vivent jamais assez longtemps. Au bureau du shérif personne ne veut de la fonction réputée sans avenir alors qu'arrivent les amis qui s'inscrivent aussitôt pour le job.
Au bar ils arrêtent Bud Wilson et le croupier après que Bud l'ait accusé de tricher en provocant une grosse bagarre. En fait, Ramsey, le propriétaire du saloon plume le jeune homme aux cartes truquées car il veut se venger de la mort de son frère survenue quelques années auparavant grâce au jugement du juge Wilson, le père de Bud et de sa charmante soeur Dale.
Pour se débarrasser de Rod, les bandits embusqués lui tirent dessus mais c'est le pauvre half-a-Rod venu à la rescousse qui écope d'une balle dans l'épaule.
Plus tard, Ramsey décide de dérober la banque avec l'aide d'un complice dans la place et de ses hommes. L'affreux Mace réussit à convaincre le pauvre Bud de se joindre à la bande mais les hommes de loi sont déjà dans la banque et prêts à les accueillir ...
Un western tout simple voire presque naïf, sans musique et dont le son semble parfois rajouté. Ken Maynard, Irving Bacon et Billy Bletcher incarnent les trois amis amoureux de la charmante June Clyde. Leurs réparties sont parfois amusantes. Le magnifique Tarzan est très malin, les décors sont on ne peut plus simples.
Quelques autres vétérans jouent dans ce film outre ceux mentionnés ci-dessous on peut voir Slim Whitaker, Ed Cobb, Bob Burns et Donald Keith, un jeune premier dans les années 20.
Robert, grand spécialiste du western B, savait
se renouveler avec des petits budgets.
Robert va employer une bonne douzaine de
fois la star montante John Wayne dont 9 fois durant l’année 1934 pour la ‘Lone Star Production’.
Deux paisibles cowboys, Ted Hayden et son
vieux compagnon Dusty, se détendent sous un chêne et se remémorent un affreux souvenir, celui où un soir Ted allongé et laissé pour
mort verra son père se faire cribler
de balles par 2 hommes dont l’un a un rire de fou. Son jeune frère Jim sera enlevé sous ses yeux.
Le matin venu, sauvé par Dusty, Ted passera
un long moment en convalescence et durant ce temps il va apprendre à se servir
d’une arme.
Nos 2 amis font route car Ted est bien
décidé à assouvir sa vengeance et retrouver son jeune frère et le meurtrier de
son père qui porte le nom d'un certain ‘Gentry’.
Lorsqu'à l’horizon un homme chancelant et mourant apparait et leur dit qu’il vient de boire l’eau empoisonnée d’un étang Ted découvre dans l'une de ses poches
une lettre qui lui apprend qu’il se nomme Gat Ganns, et qu'il est un tueur recherché se
rendant chez Mr Gentry qui lui a offert un emploi.
Voici une belle occasion pour Ted de
s’infiltrer dans le gang de Gentry en empruntant l’identité de Gat Ganns.
Pendant ce temps Gentry manigance un mauvais coup car il veut
s’emparer du ranch de Fred Winters qu'il veut abattre et kidnapper sa fille Fay par ses hommes de mains
Hank et Joe.
Par chance la belle Fay va réussir à
s’échapper et va être secourue par Ted et Dusty.
Bientôt Ted se présente chez Gentry et
accepte le travail d’éliminer le rancher
Fred Winters.
Ted va ainsi faire la connaissance du
jeune Spuds avec lequel il va se lier d’une
grande amitié et le défendre contre Buch, un complice de Gentry qui le martyrise.
Le soir même les hommes de Gentry volent
le bétail de Fred Winters et aussitôt le lendemain Ted et Dusty proposent à
Fred de l’aider à retrouver ses bêtes. Ils lui révélent le plan de Gentry et
décident qu’il devra se faire passer pour mort afin de démasquer le malfrat.
Le jeune Spuds va prévenir qu’un danger
menace Ted et l’informe que Gentry l’accuse du meurtre de Fred.
Ted va ruser et découvrir grâce à
une lettre détenue par le jeune Spuds qu’il est son jeune frère et ainsi poursuivre
Gentry et le faire abattre par ses
propres hommes.
Son honneur sauvé, Ted va pouvoir
convoler avec Fay…..
Un
prospecteur arrive en ville dans le but de retrouver sa fiancée.
Celle-ci vient de recevoir un mot lui annonçant son arrivée sous les
yeux d'un concurrent dépité. Lorsque le prospecteur survient elle se
jette dans ses bras, provoquant la jalousie du gars. Son amoureux lui
offre une bague et tous deux, très épris l'un de l'autre, s'embrassent.
Plus
tard le prospecteur se rend au saloon et repousse les avances de la
serveuse en lui montrant la photo de celle qu'il aime. La fille du
saloon est très jalouse et décide d'aider le concurrent qui se morfond
devant son verre. Elle s'arrange pour se rendre chez le prospecteur sous
les yeux de la fiancée qui a des doutes grâce aux bons offices du gars
évincé. Virée par le prospecteur, la serveuse fait semblant d'avoir reçu
un foulard et sourit en faisant des signes d'au revoir très amicaux. La
fiancée croit ce qu'elle voit et rapporte sa bague au pauvre garçon qui
n'y comprend rien. Le concurrent évincé en profite pour lui voler sa
fiancée et l'épouser. La serveuse se retrouve quant à elle toute seule
car le pauvre garçon est profondément malheureux et ne pense qu'à celle
qu'il aime du fond du cœur.
Cinq
ans plus tard, nous retrouvons un chariot sur une piste. A son bord un
couple et un enfant. La femme et l'enfant son pauvrement vêtues et la
mère tousse beaucoup. Le père descend du chariot et on comprend qu'il
est ivre. Il dételle l'un des chevaux qu'il s'en va vendre en ville
tandis que sa femme s'effondre après avoir donné un vieux bout de pain à
sa fille. L'homme achète quelques victuailles mais ne résiste pas à
l'attrait du saloon où il s'arrête pour acheter une bouteille. Plus loin
la table de jeu l'attire et il joue tout ce qu'il possède. Pendant ce
temps sa femme se meurt et sa fillette part chercher de l'aide.
Non
loin de là un prospecteur campe. Il fume en attendant que son repas
soit cuit et regarde une photo qu'il porte sur son coeur.
Lorsqu'un
homme dégringole de la montagne et meurt à ses pieds il reconnait le
concurrent qui lui a volé sa fiancée et grimpe la falaise pour trouver
une petite fille perdue qu'un ours renifle. Après avoir fait fuir le
plantigrade il ramène la fillette auprès du chariot pour trouver la
femme qu'il aime étendue. Juste avant de rendre son dernier souffle elle
l'enlace brièvement et l'homme se retrouve seul avec la petite qu'il
emmène.
The End.
20
minutes d'images fortes et poignantes. Un véritable coup de coeur pour
ce film tout simple et percutant aux décors très épurés. Fred Church
joue sobrement mais avec intensité. Les images ont un rythme lent mais
concis ce qui donne un impact certain à l'action tragique qui se déroule
sous les yeux du spectateur, le tout sans un seul intertitre ni pathos,
c'est assez fascinant !
On
trouve ce film chez Oldies sous le titre de Vengeance of Hate. Il me
semble que le titre de The End of the Circle est plus adéquat et
j'ignore lequel est officiel. L'image de la copie d'Oldies est très nette, par contre le choix de la musique n'est pas très heureux ...
Il m'a fallu faire toute la filmographie de Eleanor Blevin pour trouver le titre sous lequel ce film est répertorié sur IMDB.
Par contre IMDB indique Essanay Comme maison de production et les cartons indiquent Capital Film Co, Inc. Mais si l'on en croit IMDB toujours, Capital Film Co, Inc n'a rien produit en 1913 http://www.imdb.com/company/co0134068/
Bref, si vous en savez plus que moi à ce sujet n'hésitez pas à laisser un commentaire ou à m'envoyer un message.
Une grande et méconnue figure
du western B avec près de 300 rôles à son actif.
Il sera acteur, quelques fois
réalisateur et à l’occasion scénariste connu sous plusieurs pseudonymes: H.B.
Carpenter, Horace Carpenter, William Carpenter et pour finir ‘Horace B.
Carpenter’.
Horace est né
le 31 janvier 1875 à Grand Rapids dans l’Etat du Michigan et débutera dans le court métrage à l’âge de quarante ans.
Plus tard il
se spécialisera dans un rôle de détective ‘The Attic Above’, un emploi qu’il
gardera dans plusieurs films.
Il tiendra
durant sa carrière différents rôles : ambassadeur russe, chirurgien, cheik, prince,
mexicain et même Shérif au début des années 20.
Par la suite
il va se consacrer à la réalisation entre 1925 et 1930 essentiellement dans le
western qu’il connait très bien et signera une dizaine de films.
En 1930 il
abandonne la réalisation mais ne quittera pas le western pour devenir un
des seconds rôles de la série B.
On va ainsi
le retrouver dans pas loin de 200 longs métrages avec comme partenaire Roy Rogers,
Gene Autry, Randolph Scott et John Wayne à plusieurs reprises.
Il deviendra
un des piliers du serial pour la firme ‘Republic Picture’.
En 1945 il
tourne aux cotés de Bill Elliot pour la série de Red Ryder, un tournage qui lui
sera fatal et qui va interrompre brutalement sa carrière.
Horace s’éteint
en effet d’une crise cardiaque en plein tournage le 21 mai 1945, il avait 70
ans.
Une sélection
de quelques westerns :
1944: The Yellow Rose of Texas
1941: Go West, Young Lady
1936: Winds of the Wasteland
1934: In Old Santa Fe
1933: Trailing North
1932: Fighting for Justice
1930: The Arizona Kid
1929: West of the Rockies
1923: King's Creek Law
1919: Terror of the Range
1914: The Virginian
Voici la
selection que vous trouverez sur Western Mood:
John Bonniwell (Dix) empêche un holdup
des frères James et est blessé durant l'attaque. Lorsqu'il se réveille
sur son lit d'hôpital, il a la surprise de découvrir qu'il a été élu
Marshall de la ville de Broken Lance au Kansas, sous l'impulsion du
banquier et de Steve Barat. Désireux de poursuivre tout d'abord sa
route, il décide d'accepter la tâche lorsqu'il fait la connaissance de
la propriétaire de l'hôtel local, Eleanor Sager (Wyatt). Il se rend vite
compte que le banquier assoiffe les citoyens en ponctionnant toutes
sortes de taxes ...
Ma version est un peu floue, ça
n'aide pas beaucoup. Il y a tous les ingrédients nécessaires pour faire
une bonne sauce, de l'action, de la romance, une "stampede", une des
plus belles bagarres de saloon que j'ai pu voir, d'une bonne durée où
tout le monde s'empoigne, et des coups plutôt originaux, même !
... mais la sauce n'a pas pris. A revoir peut-être ...