May Et Chance - Les Journaux De June Wolf Hadley

May Et Chance - Les Journaux De June Wolf Hadley
Voici une lecture western à lire est à ranger dans votre bibliothèque. Un roman de Jim Fergus paru aux éditions ‘Actes sud’ le 03/11/2022 avec 310 pages dans un format broché de 22 x 14 cm. Le résumé : L'incroyable destin de May Dodd, l'héroïne de la trilogie Mille femmes blanches. 1875. Du fait de son mode de vie anticonformiste, May Dodd, jeune femme de la bourgeoisie de Chicago, est séparée de ses enfants avant d'être enfermée par sa famille dans un asile. Sa seule façon de s'en sortir : rejoindre un convoi de femmes blanches destinées à épouser des guerriers cheyennes. Devenue l'épouse du chef Little Wolf, May prend fait et cause pour les Indiens face aux traîtrises du gouvernement. 1877. May quitte le camp des Cheyennes pour Chicago, où elle espère retrouver ses enfants…

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mercredi 29 février 2012

The Vigilantes are coming

The Vigilantes are coming –Ray Taylor/Mack V.Wright - 1936
Un sérial de 12 épisodes mené à la manière d’un ZORRO, une des belles galopades en compagnie de BOB ou ROBERT LIVINGSTON et de ses 2 acolytes RAYMOND HATTON et GUINN ‘BIG BOY’ WILLIAMS, pourchassant une bande de cosaques menés par le Conte Raspinoff  (ROBERT WARWICK) et veulent dans la Californie de 1844 créer une nouvelle colonie Russe, tout cela autour d’une vengeance de famille.
Un sérial qui ne figure pas au panthéon, le déroulement de l’action est répétitif et pas de grand intérêt, sans doute a cause des conditions financières : tourné en 21 jours pour 85 000 dollars est le sérial le moins cher de Republic Picture.
 Cela reste quand même une curiosité à voir.
Une sortie cinéma en France en 90 minutes sous le titre de ‘Zorro l’indomptable’ en 1949.
  • Pour la toile nous avons :
Robert Livingston / Don Loring-The Eagle
Kay Hughes / Doris Colton
Guinn 'Big Boy' Williams / Salvation
Raymond Hatton / Whipsaw
Fred Kohler / General Jason Burr
Robert Warwick / Conte Ivan Raspinoff 
William Farnum / Pere Jose
Bob Kortman / Boris Petroff
John Merton / Rance Talbot
Yakima Canutt / Barsam  




                      
BIG BOY, ROBERT,KAY HUGHES et RAYMOND

mardi 28 février 2012

Dick Foran et Smoke

Dick Foran et Smoke
Ce magnifique palomino, de type quarter horse, crève l’écran ! (A ce sujet, il arrive régulièrement qu’il vole la vedette du film), il n’hésite pas à sauver son maître de situation compliquée, voire même de tuer au nom de la justice. On peut admirer un cheval bien dressé et un équipement passablement chargé. De nombreuses légendes existent à son sujet (palomino gris ou doré ? Un caractère bien trempé ou non ? Une existence particulièrement longue ?). Toujours est-il qu’il apparait dans environ 15 westerns-B entre les années 1935 et 1941, sous les noms Dick's Horse, Red's Horse, Rod's Horse, Chip's Horse, Smoky et le plus courant : Smoke the Wonder Horse.

Il appartenait au Chef Thunder Cloud.




lundi 27 février 2012

Richard Dix


Naissance : le 18 juillet 1893 à St Paul Minnesota
Décès : le 20 septembre 1949 à Los Angeles Californie d'une crise cardiaque 
Nom  : Ernest Carlton Brimmer
Souche : anglaise
Taille :1.83 m (6'), 90 kg
Cheveux : châtains foncés
Yeux : bruns foncés.
Un visage de chérubin au profil volontaire et énergique. Des expressions qui passent d'inflexibles et déterminées mais basculent facilement vers un sourire d'enfant aux yeux pétillants... Un jeu tout en finesse d'une grande sobriété. C'est peut-être ce qui explique la grande versatilité de Richard Dix et  la grande diversité de ses rôles.
Richard Dix était un acteur de premier plan de 1929 à 1943, pour la RKO Radio Pictures. Il est né Ernest Carlton Brimmer le 18 juillet 1893, à St Paul au Minnesota où il fera ses études, puis selon la volonté de son père étudiera pour devenir chirurgien.
Un talent évident sur scène lors de ses début à l'école d'art dramatique de son quartier le conduit à persévérer dans son école.
Une taille de 1m83 pour un poids de 90 kilos en font un sportif qui excellait surtout dans le football et le baseball. Ces compétences lui seront très utiles pour le reste de sa carrière.
Après une année passée à l'Université du Minnesota, il travaille de jour dans une banque puis pour un architecte pour payer sa formation théâtrale le soir, malgré les objections de ses parents. Ses débuts professionnels ont débuté avec l'aide d'une petite société locale, et se poursuivent à New York.
Au grand dam de son père, il poursuit la voie théâtrale aidé par son frère Archie, un chirurgien réputé beaucoup plus âgé qui le soutient dans sa démarche et l'aide financièrement secrètement.
E.H. Southern lui offre $18 par semaine pour jouer les petits rôle dans sa compagnie.
Une de ses premières chances est d'avoir été engagé dans The College Widow, une pièce produite par James Neill et Edythe Chapman Compangy qui avaient besoin d'un jeune homme pour jouer un joueur de football.
Il change ensuite son nom pour celui de Richard Dix et part pour Broadway. Après deux mois sans travail, il rejoint Pittsburgh où il joue pour $35 par semaine ce qui l'amène à travailler à Dallas et à Montreal. 
Engagé à la fin de la première guerre mondiale mais déchargé dès l'armistice signée.
De retour à Broadway il a la chance d'obtenir un rôle dans The Hawk de William Faversham qui le prend sous son aile. Un soir alors qu'il joue dans The Song of Songs il retrouve enfin son père dans sa loge. A Broadway il joue différents caractères dans toutes sortes de pièces avec David Butler et Douglas McLean. Après un an, il retourne à la maison à la mort de son frère. Après des déboires financiers, son père décède à son tour. Entre temps Butler et McLean partent pour Hollywood où ils obtiennent rapidement du succès.
Le décès de son père lui laisse sa mère et sa sœur à charge. Pendant trois ans il soutient sa famille en travaillant dans des théâtres locaux.
En 1920, Il décide de partir pour Los Angeles où il devient un des acteurs principaux pour la Société Morosco en remplacement d'Edmund Lowe (Il fallut 3 semaines aux fans de Lowe pour accepter Dix !) et alla de succès en succès. Après un bref retour à Des Moines où vivent maintenant sa sœur et sa mère qui décèdera en 1924, il retourne à Hollywood, attiré par l'industrie cinématographique.
David Butler l'aide à passer ses tests d'écran et il obtient le rôle de Not Guilty pour la First National ce qui entraina Joseph Schenk à l'engager chez Goldwyn où il tourne Dangerous Curves Ahead, Racing HeartsSouls for Sales. et
Un succès grandissant fait qu'il devient l'une des stars la plus populaire de l'époque. Le succès ne lui monte pas à la tête et il reste un homme simple aimant simplement bavarder avec tout un chacun.
A 37 ans "Dickey" Dix est toujours un célibataire convoité. Louella Parson l'interviewe en 1931 et le presse de révéler le nom d'une fiancée et une date de mariage. Alors qu'il répond "un jour", elle répliqua "mais vous avez parié que vous seriez marié dans l'année" sa réponse fusa "mais je n'ai pas dit quelle année" ! Dans le même interview, il révèle qu'il cherche une femme ayant le nez de Norma Shearer, les yeux de Bebe Daniels, la voix d'Irene Dunne et les cheveux d'Ann Harding ... avec la personnalité de Louella Parson !
Mais le 20 octobre 1931 (certaines sources citent septembre) il épouse Winifred Coe de San Francisco avec laquelle il a une fille Martha Mary Ellen. Ils s'étaient rencontrés 6 ans auparavant et correspondaient depuis ce temps. Divorce en 1933.
Il épousera en seconde noce Virginia Webster le 07 mai 1935 (ou le 19 juin 1934 voire le 29 juin, enfin ça dépend des sources !) Des jumeaux naitront  - Richard (qui décèdera d'un accident à l'âge de 18 ans en laissant une petite fille) et Robert (qui suivra ses traces en devenant acteur à son tour). Le couple adoptera  aussi plus tard une petite fille, Sarah Sue.
Richard Dix était considéré par tous comme un homme réglo. Grand, scrupuleusement honnête, charmeur, sain, travailleur, direct et sincère, il semble que tout le monde l'appréciait. Il détestait toute référence à son physique ou à ses fossettes et était hostile aux photographes qui le mettaient trop en valeur. Il était de plus très modeste en ce qui concerne ses talents d'acteur.
Fan de sport et  bon athlète lui-même lorsqu'il en avait le temps. Il assistait volontiers à des matchs de boxe, aimait la chasse et la pêche, le golf et jouait volontiers au tennis. Il avait un chenil de 15 chiens setters llewellyn  qu'il élevait.
Dans les montagnes de Santa Monica près de Topanga il achète un ranch de 148 acres de 15 pièces tout confort, sans le téléphone ! 
Son physique et ses traits sombres en faisaient un acteur de western par excellence. Ses capacités athlétiques l'ont mené au rôle vedette de Paramount's Warming Up (1928), une histoire de baseball et aussi le premier long métrage du studio avec synchronisation et des effets sonores.
Une voix profonde et grave lui permet de passer au parlant sans problème.
Sous contrat avec Paramount depuis 1923, à l’avènement du parlant il est impatient de passer  au parlant mais en 1927 Paramount souhaite l'obliger à tourner des muets pour les villes de provinces et les audiences sur d'autres continents. La goutte fait déborder le vase lorsque Paramount rachète les droits de Quicksands pour le ressortir et bénéficier de la popularité de Dix. Celui-ci offre $1 million cash pour racheter son contrat le liant à Paramount qui refuse en renonçant toutefois à ressortir le film mais en lui offrant un contrat de 52 semaines à $ 4'500 par semaine.
Premier film parlant pour Paramount en 1929, année où il quitte cette compagnie pour la RKO pour tourner Seven Keys to Bladpate.
Engagé par la RKO Radio Pictures en 1929, leur première collaboration débute par un triomphe, Seven Keys to Baldpate (1929).
En 1931, il est nominé pour un Oscar du meilleur acteur pour sa prestation magistrale dans Cimarron (1931). Le film remporte l'Oscar de la meilleur image.
Durant les années 30, Richard Dix fait un carton au box-office de la RKO, en figurant dans des drames policiers, des fictions, des westerns, etc.
Vers le milieu des années 40, il apparait dans une série tirée d'une émission de radio, "The Whistler", une série de films mystérieux et noirs tournés pour la Columbia.
En 1943 sa santé commence à se dégrader. Souffle court et hypertension, il réduit ses efforts physiques et se retire de l'industrie cinématographique en 1947. En octobre 1948, il a une crise cardiaque. Peu de temps après, il vend le ranch et entreprend un voyage en Europe avec sa femme. En Aout 1949, en embarquant à Cherbourg, il refait une crise cardiaque et est hospitalisé à New York. Désireux de rentrer chez lui, sur le chemin de retour il est à nouveau hospitalisé à Chicago, demande à rentrer en avion à Los Angeles où il décède au Presbyterian Hospital le 20 septembre 1949, à l'âge de 56 ans.
Texte anglais sur
Les mémoires de son fils Bob

dimanche 26 février 2012

Whip Wilson et Silver Bullet/Lightning

Whip Wilson et Silver Bullet/Lightning
Difficile de définir les origines exactes de ce grand cheval gris, probablement barbe espagnol. Il apparait dans des films de plus ou moins 1948 à 1950 aux côtés de Wilson. Son nom complet était à la base Silver Bullet mais fut raccourci en Bullet, et pour finir fut changé en Rocket car dans ces années-là, le chien de Roy Rogers se nommait Bullet.

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